
Les enseignants du lycée Roland Garros du Tampon débrayent ce jeudi à l'appel de l'intersyndicale.
Ils protestent contre la vétusté de certaines parties de l'établissement. Si des travaux ont déjà été engagés depuis plusieurs années et des bâtiments ont été également désamiantés, d'autres comme les sanitaires demandent à être rénovés.
Samuel Zilber est professeur d'histoire géographie. Il proteste contre l'arrêt de ces travaux. "Nous manquons cruellement d'information sur le calendrier. La présence possible d'amiante dans les toilettes par exemple est pour nous une source de stress. Nous demandons à ce que les conditions de travail, d'hygiène et de sécurité soient respectées", explique-t-il.
Les enseignants attendent donc de l'autorité de tutelle, la collectivité régionale, des réponses. Le mouvement ne devrait durer qu'une partie de la matinée, "mais nous nous remobiliserons si rien n'est fait", préviennent-ils, notamment pour les festivités des 50 ans du lycée prévues pour le 15 avril.
La grogne du personnel pédagogique a fait tâche d'huile puisque les élèves appuient eux-aussi les revendications du corps enseignant.
Ils protestent contre la vétusté de certaines parties de l'établissement. Si des travaux ont déjà été engagés depuis plusieurs années et des bâtiments ont été également désamiantés, d'autres comme les sanitaires demandent à être rénovés.
Samuel Zilber est professeur d'histoire géographie. Il proteste contre l'arrêt de ces travaux. "Nous manquons cruellement d'information sur le calendrier. La présence possible d'amiante dans les toilettes par exemple est pour nous une source de stress. Nous demandons à ce que les conditions de travail, d'hygiène et de sécurité soient respectées", explique-t-il.
Les enseignants attendent donc de l'autorité de tutelle, la collectivité régionale, des réponses. Le mouvement ne devrait durer qu'une partie de la matinée, "mais nous nous remobiliserons si rien n'est fait", préviennent-ils, notamment pour les festivités des 50 ans du lycée prévues pour le 15 avril.
La grogne du personnel pédagogique a fait tâche d'huile puisque les élèves appuient eux-aussi les revendications du corps enseignant.

Pour enseignants et élèves, les toilettes du plus vieux lycées du sud de l'île doivent être rénovés.


Samuel Zilber, professeur d'histoire-géo, adhérent au Snes dénonce un manque de transparence de la Région