
Le Territoire de la Côte Ouest et la Commune urbaine de Sainte-Marie à Madagascar ont officialisé un partenariat de coopération décentralisée entre les deux collectivités ce samedi 14 février.
La convention-cadre conclue pour une durée de 4 ans et signée par le président du TCO, Joseph Sinimalé et le président de la Délégation spéciale de la Commune urbaine de Sainte-Marie, Alain Sianala, vise au co-développement durable des deux territoires.
Elle porte sur cinq secteurs prioritaires tels que le développement économique et touristique, la préservation de l’environnement, l’aménagement durable ou encore l’animation culturelle et sportive.
Au-delà des échanges institutionnels, la coopération décentralisée encourage l’engagement citoyen des jeunes et les échanges entre opérateurs économiques, chercheurs, associations et acteurs socioculturels des territoires partenaires.
Ainsi, les deux collectivités s’engagent à favoriser, d’une part, la mobilité des jeunes, et d’autre part, l’insertion professionnelle à travers des programmes de volontariats internationaux, de services civiques à l’international et de chantiers coopératifs d’insertion. Ces actions seront menées en étroite collaboration avec le secteur associatif.
C’est la première fois que la communauté d’agglomération de l'ouest porte en son nom propre un projet de coopération décentralisée. Le 2 février dernier, les élus communautaires ont choisi pour ce premier partenariat l’île Sainte-Marie à Madagascar, en raison de la proximité géographique et des liens historiques de certaines communes de l’ouest avec la grande île.
La Commune Urbaine de Sainte–Marie présente un profil intéressant à bien des égards pour la coopération décentralisée. Elle dispose d’une liaison aérienne directe avec La Réunion. Enfin, son insularité l’expose aux mêmes problématiques qu'à La Réunion, notamment du point de vue économique, environnemental et touristique. Territoire géographiquement restreint et enclavé, cette collectivité apparaît comme un véritable laboratoire pour expérimenter des actions de coopération décentralisée.
Le TCO consacre un budget annuel de 55.000 euros à la coopération décentralisée.
La convention-cadre conclue pour une durée de 4 ans et signée par le président du TCO, Joseph Sinimalé et le président de la Délégation spéciale de la Commune urbaine de Sainte-Marie, Alain Sianala, vise au co-développement durable des deux territoires.
Elle porte sur cinq secteurs prioritaires tels que le développement économique et touristique, la préservation de l’environnement, l’aménagement durable ou encore l’animation culturelle et sportive.
Au-delà des échanges institutionnels, la coopération décentralisée encourage l’engagement citoyen des jeunes et les échanges entre opérateurs économiques, chercheurs, associations et acteurs socioculturels des territoires partenaires.
Ainsi, les deux collectivités s’engagent à favoriser, d’une part, la mobilité des jeunes, et d’autre part, l’insertion professionnelle à travers des programmes de volontariats internationaux, de services civiques à l’international et de chantiers coopératifs d’insertion. Ces actions seront menées en étroite collaboration avec le secteur associatif.
C’est la première fois que la communauté d’agglomération de l'ouest porte en son nom propre un projet de coopération décentralisée. Le 2 février dernier, les élus communautaires ont choisi pour ce premier partenariat l’île Sainte-Marie à Madagascar, en raison de la proximité géographique et des liens historiques de certaines communes de l’ouest avec la grande île.
La Commune Urbaine de Sainte–Marie présente un profil intéressant à bien des égards pour la coopération décentralisée. Elle dispose d’une liaison aérienne directe avec La Réunion. Enfin, son insularité l’expose aux mêmes problématiques qu'à La Réunion, notamment du point de vue économique, environnemental et touristique. Territoire géographiquement restreint et enclavé, cette collectivité apparaît comme un véritable laboratoire pour expérimenter des actions de coopération décentralisée.
Le TCO consacre un budget annuel de 55.000 euros à la coopération décentralisée.