
Pendant que la France s'enfonce dans le chômage, le Royaume-Uni, lui, voit l'avenir avec sérénité. Selon une étude du Centre pour la recherche économique et commerciale (CEBR) publiée hier dans le Daily Telegraph, le pays de Sa Majesté deviendra la première puissance économique en Europe d'ici 2030.
L'étude prévoit que le Royaume-Uni deviendra la seconde puissance économique en 2018 devant la France, avant de chiper la première place à l'Allemagne à l'orée 2030. La raison de ce succès est dû "au développement plus important de sa population et de sa dépendance moindre vis-à-vis des autres économies européennes", rapporte l'étude.
Le seul moyen pour l'Allemagne de conserver sa première place sur le long terme est d'espérer une chute de l'euro. "Une Allemagne basée sur le Deutsche Mark ne serait certainement pas rattrapée par le Royaume-Uni avant des années", toujours selon l'étude.
Par ailleurs, le président du CEBR, Douglas McWilliams, a indiqué que l'économie britannique pourrait se développer beaucoup plus si Londres venait à quitter l'Union européenne, même si l'impact, sur le court terme, serait "négatif". "Mais mon sentiment est que passé une quinzaine d'années, il deviendrait probablement positif", a-t-il déclaré dans les colonnes du Daily Telegraph.
L'étude prévoit que le Royaume-Uni deviendra la seconde puissance économique en 2018 devant la France, avant de chiper la première place à l'Allemagne à l'orée 2030. La raison de ce succès est dû "au développement plus important de sa population et de sa dépendance moindre vis-à-vis des autres économies européennes", rapporte l'étude.
Le seul moyen pour l'Allemagne de conserver sa première place sur le long terme est d'espérer une chute de l'euro. "Une Allemagne basée sur le Deutsche Mark ne serait certainement pas rattrapée par le Royaume-Uni avant des années", toujours selon l'étude.
Par ailleurs, le président du CEBR, Douglas McWilliams, a indiqué que l'économie britannique pourrait se développer beaucoup plus si Londres venait à quitter l'Union européenne, même si l'impact, sur le court terme, serait "négatif". "Mais mon sentiment est que passé une quinzaine d'années, il deviendrait probablement positif", a-t-il déclaré dans les colonnes du Daily Telegraph.