Des "hourras" salvateurs ont salué vers 11h10 la sortie de la délégation de parents d'élèves et de syndicats de l'Education de leur réunion au rectorat, dans le conflit qui les oppose à l'institution académique au Moufia (Saint-Denis).
Malgré cette sortie très attendue, après plus d'une heure de discussion avec le Recteur lui-même, la copie rendue reste mitigée. Les écoles des Avirons (Paul Hermann) et de Saint-Leu (école du Centre) ont obtenu gain de cause. Un poste dans chacune d'entre elles sera ouvert. Mais Philippe Moreau, délégué de la Fédération des conseils de parents d’élèves aux Avirons, haut-parleur à la bouche, se voulait prudent : "nous attendrons l'arrivée effective de ces enseignants avec leurs valises", a-t-il ironisé devant un parterre somme toute assez maigre d'une vingtaine de personnes (ils étaient environ 30 plus tôt dans la matinée).
Le bémol est venu de Sainte-Suzanne. La conseillère régionale de l'Alliance, Aline Murin-Hoarau, était la première a emboîter le pas aux propos rapportés par Florent Hurhungée.
Le recteur, Mostafa Fourar, a, pour Sainte-Suzanne, demandé à la mairie de reverser les élèves des écoles les plus chargées vers celles qui le sont moins, selon les parents qui ont assisté au tour de table.
Le combat n'est donc pas totalement terminé pour les écoles de Sainte-Suzanne et de la Saline, dont les griefs n'ont pas été évoqués aujourd'hui selon Florent Hurhungée.
D'autres échéances pacifistes ou plus radicales sont à prévoir sur ces secteurs.
Malgré cette sortie très attendue, après plus d'une heure de discussion avec le Recteur lui-même, la copie rendue reste mitigée. Les écoles des Avirons (Paul Hermann) et de Saint-Leu (école du Centre) ont obtenu gain de cause. Un poste dans chacune d'entre elles sera ouvert. Mais Philippe Moreau, délégué de la Fédération des conseils de parents d’élèves aux Avirons, haut-parleur à la bouche, se voulait prudent : "nous attendrons l'arrivée effective de ces enseignants avec leurs valises", a-t-il ironisé devant un parterre somme toute assez maigre d'une vingtaine de personnes (ils étaient environ 30 plus tôt dans la matinée).
Le bémol est venu de Sainte-Suzanne. La conseillère régionale de l'Alliance, Aline Murin-Hoarau, était la première a emboîter le pas aux propos rapportés par Florent Hurhungée.
Le recteur, Mostafa Fourar, a, pour Sainte-Suzanne, demandé à la mairie de reverser les élèves des écoles les plus chargées vers celles qui le sont moins, selon les parents qui ont assisté au tour de table.
Le combat n'est donc pas totalement terminé pour les écoles de Sainte-Suzanne et de la Saline, dont les griefs n'ont pas été évoqués aujourd'hui selon Florent Hurhungée.
D'autres échéances pacifistes ou plus radicales sont à prévoir sur ces secteurs.