

Les salariés de l’entreprise revendiquent une augmentation des salaires de 150 € net et une prime exceptionnelle.
Les négociations annuelles obligatoires entamées en avril à la demande des syndicats sont au point mort.
La direction n’a jusque-là consenti qu’une avance de 0,5% à valoir sur les négociations de branche de la presse quotidienne départementale.
Le taux de participation au mouvement à la mi-journée s’établit à 76 % chez les journalistes et 60 % à la publicité."
Si aucune issue n'est trouvée dans la journée, il est possible que le journal ne paraisse pas demain matin.