
Notre Président Emmanuel Macron avait prévu et annoncé en pleine campagne de son premier quinquennat une flambée des maladies chroniques avec pour corollaire une flambée des consultations. Avec hélas, pour seul réponse à ce jour à un manque criant de médecins, la suppression tardive du numerus closus et celle prochaine de l’internat classant pour en fait une augmentation peu sélective du nombre de médecins formés en France dans seulement 8 ans.
Avec d’ici là pour solutions envisagées le remplacement des médecins libéraux français en exercice par des médecins étrangers avec une formation et compétence n’ayant rien à voir. Leur remplacement par encore des infirmières dites IPA avec seulement 4 ans de formation et surpayées. Et encore par des internes en médecine générale se voyant imposer une 4 année supplémentaire de soit-disant études pour se retrouver isolés avec peu d’expérience en zones de sous-densité médicale . Et cerise sur le gâteau par des infirmières IPA avec seulement 4 années de formation et surpayés par rapport à des médecins bac + 10 à bac + 12.
Pour entendre maintenant dans ses vœux aux soignants du 06 janvier 2023, notre Président considérer « le paiement à l’acte d’un médecin libéral peu juste » et surtout annoncer comme dernière impitoyable et radicale solution sensée tout régler, une rémunération forfaitaire « réservée aux bons médecins généralistes acceptant de nouveaux patients, formant des internes en médecine générale, participant à la PDSA (Permanence Des Soins Ambulatoires) et assurant des gardes en coordination dans le cadre de CPTS ( Communautés Professionnelles Territoriales de Santé).
POUR CONSTATER TOUT LE CONTRAIRE DE CE QUE VEULENT LES MÉDECINS LIBÉRAUX, notamment la pérennité d’une rémunération à l’acte, fondement même de l’exercice libéral de la médecine. Une RÉMUNÉRATION FORTEMENT RÉÉVALUÉE À 50 € POUR LA CONSULTATION, CE QUE RÉCLAME LE SML (Syndicat des Médecins Libéraux ), car indispensable à permettre à tout praticien l’embauche de secrétaires et en toute indépendance d’assistants médicaux adaptés à chaque type d’exercice, l’acquisition de matériel et de son local professionnel. Une rémunération minimum de 50€ permettant de dégager du temps médical et mieux encore susceptible de motiver chaque généraliste pour une organisation de la PDSA et des gardes libérales, libre, et exemptée de toute lourdeur administrative .
AVEC EFFECTIVEMENT UN PRÉSIDENT MACRON, À L’ÉCOUTE QUE DE LUI-MÊME, ÉTONNAMMENT ANTI-LIBÉRAL SEULEMENT POUR LA SANTÉ, SOUHAITANT DES MÉDECINS EXERÇANT PAR CAPITATION ET RÉMUNÉRÉS AUX FORFAITS, LE PRÉLUDE À UNE DISPARITION EN VILLE DES MÉDECINS LIBÉRAUX QU’IL DEVRA ASSUMER.
DE QUOI DÉCOURAGER ENCORE PLUS LES JEUNES DU MOUVEMENT DES « MÉDECINS POUR DEMAIN » SOUTENUS SANS ÉTAT D’ÂME PAR LE SML.
DE QUOI DÉMOTIVER ENCORE PLUS LES JEUNES À DEVENIR MÉDECINS.
Dr Humbert GOJON
Président SML Réunion
Vice-président national du SML
Avec d’ici là pour solutions envisagées le remplacement des médecins libéraux français en exercice par des médecins étrangers avec une formation et compétence n’ayant rien à voir. Leur remplacement par encore des infirmières dites IPA avec seulement 4 ans de formation et surpayées. Et encore par des internes en médecine générale se voyant imposer une 4 année supplémentaire de soit-disant études pour se retrouver isolés avec peu d’expérience en zones de sous-densité médicale . Et cerise sur le gâteau par des infirmières IPA avec seulement 4 années de formation et surpayés par rapport à des médecins bac + 10 à bac + 12.
Pour entendre maintenant dans ses vœux aux soignants du 06 janvier 2023, notre Président considérer « le paiement à l’acte d’un médecin libéral peu juste » et surtout annoncer comme dernière impitoyable et radicale solution sensée tout régler, une rémunération forfaitaire « réservée aux bons médecins généralistes acceptant de nouveaux patients, formant des internes en médecine générale, participant à la PDSA (Permanence Des Soins Ambulatoires) et assurant des gardes en coordination dans le cadre de CPTS ( Communautés Professionnelles Territoriales de Santé).
POUR CONSTATER TOUT LE CONTRAIRE DE CE QUE VEULENT LES MÉDECINS LIBÉRAUX, notamment la pérennité d’une rémunération à l’acte, fondement même de l’exercice libéral de la médecine. Une RÉMUNÉRATION FORTEMENT RÉÉVALUÉE À 50 € POUR LA CONSULTATION, CE QUE RÉCLAME LE SML (Syndicat des Médecins Libéraux ), car indispensable à permettre à tout praticien l’embauche de secrétaires et en toute indépendance d’assistants médicaux adaptés à chaque type d’exercice, l’acquisition de matériel et de son local professionnel. Une rémunération minimum de 50€ permettant de dégager du temps médical et mieux encore susceptible de motiver chaque généraliste pour une organisation de la PDSA et des gardes libérales, libre, et exemptée de toute lourdeur administrative .
AVEC EFFECTIVEMENT UN PRÉSIDENT MACRON, À L’ÉCOUTE QUE DE LUI-MÊME, ÉTONNAMMENT ANTI-LIBÉRAL SEULEMENT POUR LA SANTÉ, SOUHAITANT DES MÉDECINS EXERÇANT PAR CAPITATION ET RÉMUNÉRÉS AUX FORFAITS, LE PRÉLUDE À UNE DISPARITION EN VILLE DES MÉDECINS LIBÉRAUX QU’IL DEVRA ASSUMER.
DE QUOI DÉCOURAGER ENCORE PLUS LES JEUNES DU MOUVEMENT DES « MÉDECINS POUR DEMAIN » SOUTENUS SANS ÉTAT D’ÂME PAR LE SML.
DE QUOI DÉMOTIVER ENCORE PLUS LES JEUNES À DEVENIR MÉDECINS.
Dr Humbert GOJON
Président SML Réunion
Vice-président national du SML