
"Ce qui s'est passé n'est pas acceptable", indique en préambule, sur Réunion Première radio, le directeur de cabinet du Préfet, Loic Obled. Celui-ci a tenu à saluer le travail des policiers et gendarmes qui "ont été la cible de galets et de fusées marines" envoyées par les émeutiers. "Heureusement, aucun blessé n'est à déplorer", informe-t-il encore.
Aujourd'hui, les forces de l'ordre occupent encore le terrain. "On ne constate pas de blocage. Ils sont mobilisés pour assurer la sécurité publique", rappelle Loic Obled. Et pour aider les équipes sur place, le Préfet a décidé de renforcer les moyens humains : "Des renforts ont été demandés par le Préfet à Paris et nous les attendons dans les jours à venir".
Par ailleurs, "une quarantaine d'hommes de la gendarmerie mobile est arrivée de Mayotte et sera sur le terrain ce soir si cela est nécessaire", poursuit le directeur de cabinet.
Au total, 19 interpellations ont déjà eu lieu (5 dans la nuit de lundi à mardi, puis 14 dans la nuit de mardi à mercredi). L'occasion pour Loic Oblec de rappeler que "la violence n'a pas sa place dans les revendications".
A la question du journaliste de Réunion Première radio, "craignez-vous l'embrasement?", le représentant de la Préfecture conclut: "Le Préfet n'espère évidemment pas un embrasement. J'espère ne pas avoir à faire intervenir les forces de l'ordre en trouvant des solutions par la concertation et les dispositifs existants".
Aujourd'hui, les forces de l'ordre occupent encore le terrain. "On ne constate pas de blocage. Ils sont mobilisés pour assurer la sécurité publique", rappelle Loic Obled. Et pour aider les équipes sur place, le Préfet a décidé de renforcer les moyens humains : "Des renforts ont été demandés par le Préfet à Paris et nous les attendons dans les jours à venir".
Par ailleurs, "une quarantaine d'hommes de la gendarmerie mobile est arrivée de Mayotte et sera sur le terrain ce soir si cela est nécessaire", poursuit le directeur de cabinet.
Au total, 19 interpellations ont déjà eu lieu (5 dans la nuit de lundi à mardi, puis 14 dans la nuit de mardi à mercredi). L'occasion pour Loic Oblec de rappeler que "la violence n'a pas sa place dans les revendications".
A la question du journaliste de Réunion Première radio, "craignez-vous l'embrasement?", le représentant de la Préfecture conclut: "Le Préfet n'espère évidemment pas un embrasement. J'espère ne pas avoir à faire intervenir les forces de l'ordre en trouvant des solutions par la concertation et les dispositifs existants".