Condamné ce vendredi à 12 mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans et plusieurs obligations qui, si elles ne sont pas remplies, l'enverront derrière les barreaux, Stéphane M. plaisante avec ses trois dalons qui l'ont accompagné dans le prétoire. Le quatuor quitte le palais de justice de Champ Fleuri comme s'il ne s'était rien passé.
Pourtant, quatre femmes ont été victimes de ses agissements en novembre 2021 et en octobre 2022. Car le vingtenaire a pendant cette période pris l'habitude de surveiller des domiciles occupés, étrangement, par la gente féminine et de s'y introduire la nuit par le balcon en escaladant les étages. Sac à main, clés de voiture et deux véhicules ont été volés par le délinquant. Un des véhicules dérobés a été retrouvé brûlé au Port alors que des achats avaient été effectués par carte bancaire dans une grande surface et ont permis d'identifier le cambrioleur.
Pourtant, quatre femmes ont été victimes de ses agissements en novembre 2021 et en octobre 2022. Car le vingtenaire a pendant cette période pris l'habitude de surveiller des domiciles occupés, étrangement, par la gente féminine et de s'y introduire la nuit par le balcon en escaladant les étages. Sac à main, clés de voiture et deux véhicules ont été volés par le délinquant. Un des véhicules dérobés a été retrouvé brûlé au Port alors que des achats avaient été effectués par carte bancaire dans une grande surface et ont permis d'identifier le cambrioleur.
L'histoire s'était terminée par le vol d'un téléphone portable, toujours la nuit, sur la table d'une terrasse d'un deuxième étage. En faisant refaire sa carte Sim, la propriétaire avait eu la surprise de découvrir dans son album photo un selfie de son voleur ainsi immortalisé.
A la barre, Stéphane M. s'est excusé mais personne n'y a cru. "Avant, j'étais un con, mais maintenant, je fais une formation", a-t-il ajouté à l'attention du président du tribunal et de ses assesseurs. A observer son attitude, il est cependant permis d'en douter. Le parquet avait requis 18 mois avec sursis probatoire mais le tribunal a été plus clément dans son jugement.
A la barre, Stéphane M. s'est excusé mais personne n'y a cru. "Avant, j'étais un con, mais maintenant, je fais une formation", a-t-il ajouté à l'attention du président du tribunal et de ses assesseurs. A observer son attitude, il est cependant permis d'en douter. Le parquet avait requis 18 mois avec sursis probatoire mais le tribunal a été plus clément dans son jugement.