
Le PDG de SFR, Jean-Yves Charlier, était en visite à La Réunion ce lundi. Le rachat de SFR par le groupe Altice, la maison mère de Numéricable, le 5 avril dernier, a rendu les salariés inquiets quant à leur avenir et donc impatients d'entendre leur "grand patron".
Ce lundi, il a enfin rencontré les représentants syndicaux de SFR Réunion. "Il nous a expliqué le processus de rachat et le calendrier et nous a assuré que rien ne changerait pendant 36 mois, affirme Didier Bernard, délégué CGTR à SFR Réunion. La signature se fera cette semaine à Paris, ensuite le rachat doit être accepté par l'Autorité de la concurrence, et après tout cela, rien ne changera au sein de la structure de l'entreprise à La Réunion".
Même si Altice, qui possède Numéricable, a plus récemment racheté Izi et Only, Jean-Yves Charlier a expliqué au groupes syndicaux qu'il n'y aurait pas de fusion entre ces entités, et donc pas de soucis de monopole, de cessation d'activité et de licenciement.
C'est à la fin de l'année que l'Autorité de la concurrence donnera son avis.
Ce lundi, il a enfin rencontré les représentants syndicaux de SFR Réunion. "Il nous a expliqué le processus de rachat et le calendrier et nous a assuré que rien ne changerait pendant 36 mois, affirme Didier Bernard, délégué CGTR à SFR Réunion. La signature se fera cette semaine à Paris, ensuite le rachat doit être accepté par l'Autorité de la concurrence, et après tout cela, rien ne changera au sein de la structure de l'entreprise à La Réunion".
Même si Altice, qui possède Numéricable, a plus récemment racheté Izi et Only, Jean-Yves Charlier a expliqué au groupes syndicaux qu'il n'y aurait pas de fusion entre ces entités, et donc pas de soucis de monopole, de cessation d'activité et de licenciement.
C'est à la fin de l'année que l'Autorité de la concurrence donnera son avis.