Réuni ce mercredi 9 décembre, le Conseil politique du PCR a pris position pour le second tour des Régionales.
Sans grande surprise, le PCR annonce qu’il s’abstiendra de voter pour l'un ou l'autre finaliste dimanche car dit-il, les deux listes du second tour sont conduites par des parlementaires qui font tout pour occulter les problèmes que rencontrera le département dans quelques années.
Le PCR liste l’ensemble des thématiques auxquelles sera confrontée l’économie réunionnaise d’ici 2020.
"L’an prochain, le gouvernement va présenter un projet de loi sur l’égalité réelle. Le changement de statut de La Réunion est à l’ordre du jour. C’est la loi la plus importante depuis que La Réunion est département", insiste le Parti communiste.
En 2017, "c’est la ruine pour les planteurs" qui s’annonce avec la fin du quota sucrier et du prix garanti du sucre. Toujours la même année, "c’est la remise en cause du dispositif actuel de défiscalisation, l’une des principales sources de financement des logements sociaux auquel il sera mis un terme."
Enfin, en 2020, c’est la fin de l’octroi de mer. "La dernière barrière de protection de nos productions s’effondrera", commente le bureau politique du parti.
Face à ce constat, le PCR décide de ne pas choisir entre les deux candidats restants.
"L’un est députée, l’autre est sénateur. Ils sont au courant de tous ces problèmes, ils vont prendre position sur toutes ces questions. Ils refusent d’en parler avant l'élection", fait valoir le PCR dans son communiqué. Pas question dans ces conditions de leur "signer un chèque en blanc dimanche 13 décembre" quand c'est "La Réunion qui en paiera les conséquences."
Sans grande surprise, le PCR annonce qu’il s’abstiendra de voter pour l'un ou l'autre finaliste dimanche car dit-il, les deux listes du second tour sont conduites par des parlementaires qui font tout pour occulter les problèmes que rencontrera le département dans quelques années.
Le PCR liste l’ensemble des thématiques auxquelles sera confrontée l’économie réunionnaise d’ici 2020.
"L’an prochain, le gouvernement va présenter un projet de loi sur l’égalité réelle. Le changement de statut de La Réunion est à l’ordre du jour. C’est la loi la plus importante depuis que La Réunion est département", insiste le Parti communiste.
En 2017, "c’est la ruine pour les planteurs" qui s’annonce avec la fin du quota sucrier et du prix garanti du sucre. Toujours la même année, "c’est la remise en cause du dispositif actuel de défiscalisation, l’une des principales sources de financement des logements sociaux auquel il sera mis un terme."
Enfin, en 2020, c’est la fin de l’octroi de mer. "La dernière barrière de protection de nos productions s’effondrera", commente le bureau politique du parti.
Face à ce constat, le PCR décide de ne pas choisir entre les deux candidats restants.
"L’un est députée, l’autre est sénateur. Ils sont au courant de tous ces problèmes, ils vont prendre position sur toutes ces questions. Ils refusent d’en parler avant l'élection", fait valoir le PCR dans son communiqué. Pas question dans ces conditions de leur "signer un chèque en blanc dimanche 13 décembre" quand c'est "La Réunion qui en paiera les conséquences."