
"Force est de constater que le bien-être, la formation et l'accompagnement des jeunes ne sont pas la priorité du chef de l'État" dénonce le MJS 974 à travers un communiqué. Le Mouvement des jeunes socialistes a commencé à faire signer des pétitions par l'ensemble des établissements du second degré de l'île. "Nous adresserons un courrier au Recteur pour lui faire part de notre soutient aux conseillers d'éducation" déclare Cindy Dijoux, porte-parole du MJS 974. "C'est bel et bien une réelle démocratisation du système éducatif qui permettra une transformation de la société" ajoute le parti politique de gauche.
Face à cette situation, que le MJS traduit comme "un nouveau désengagement de l'État en ce qui concerne le service public d'éducation", le MJS propose "un plan pluriannuel ambitieux de recrutements de professeurs, CPE, assistants d'éducation, ainsi que des personnels sociaux et de santé dans les écoles, les collèges, les lycées et les universités".
Les CPE sont eux représentés par Guy Garcia, CPE, commissaire paritaire SGEN-CFDT et étaient lundi devant le collège Jules Solesse à Saint-Paul, où il ne restera plus qu'un seul CPE pour 1.000 élèves. "On préfère sacrifier l'académie de la Réunion" dénonce le syndicaliste, qui ne comprend pas pourquoi trois CPE de la Réunion auront leur premier poste en métropole alors qu'une quinzaine de postes sont vacants sur l'île.
Face à cette situation, que le MJS traduit comme "un nouveau désengagement de l'État en ce qui concerne le service public d'éducation", le MJS propose "un plan pluriannuel ambitieux de recrutements de professeurs, CPE, assistants d'éducation, ainsi que des personnels sociaux et de santé dans les écoles, les collèges, les lycées et les universités".
Les CPE sont eux représentés par Guy Garcia, CPE, commissaire paritaire SGEN-CFDT et étaient lundi devant le collège Jules Solesse à Saint-Paul, où il ne restera plus qu'un seul CPE pour 1.000 élèves. "On préfère sacrifier l'académie de la Réunion" dénonce le syndicaliste, qui ne comprend pas pourquoi trois CPE de la Réunion auront leur premier poste en métropole alors qu'une quinzaine de postes sont vacants sur l'île.