Revenir à la rubrique : Santé

Le GHSR de Saint-Pierre souhaite « lever toute confusion »

On pensait l'affaire des puces du Pôle Femme-Mère-Enfant définitivement terminée. Ce n'est visiblement pas le cas pour les services de communication du GHSR de Saint-Pierre qui exercent leur droit de réponse afin de "lever toute confusion".

Ecrit par zinfos974 – le jeudi 07 octobre 2010 à 18H45

« Suite aux informations diffusées dans les médias faisant état d’une prolifération de puces sur le chantier relatif à la construction du Pôle Femme Mère Enfant de l’Hôpital de Saint-Pierre, la Direction du GHSR souhaite lever toute confusion qui pourrait naître de cette communication auprès du public.

En aucun cas, les services de l’Hôpital de Saint-Pierre ne sont affectés par ce phénomène. Le chantier du PFME est placé sous la responsabilité de l’équipe de maîtrise d’œuvre affectée à cette opération.

La Direction du GHSR a rappelé à cette dernière ses obligations en matière d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail à faire respecter pour le bon déroulement du chantier.
A ce jour, le traitement complet du chantier pour désinsectisation a été effectué.« 

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Ouverture de l’accès aux essais cliniques des cancers digestifs, pour les patients à La Réunion

La Fédération Francophone de Cancérologie Digestive (FFCD) et le Pôle Recherche Clinique et Innovation du Groupe de Santé CLINIFUTUR, membre du GCS Recherche SCERI, ont annoncé la signature en 2024 d’une convention de collaboration inédite. Cette collaboration permettra, pour la première fois, à des patients situés à La Réunion et Mayotte, d’être inclus dans les essais thérapeutiques académiques conduits par la FFCD.