
La déesse Lakshmi saura-t-elle trouver le chemin jusqu’au cœur des Saint-Andréens, et rallumer la flamme de la fête de la lumière. La lueur n’a cessé de diminuer dans le cœur de certains depuis que la nouvelle municipalité, a décidé de programmer le défilé des chars, le moment fort de cet événement, sur le seul site du Colosse.
Le maire a assumé son choix. Eric Fruteau a évité la polémique pour ne pas mettre de l’huile sur le feu. Les commerçants du centre ville ont essayé de le convaincre de ne pas modifier le trajet du défilé, le premier magistrat a maintenu sa décision (cliquer ici pour lire l’article de lundi 13 octobre et regarder la vidéo d'Eric Fruteau).
C’est vers 11h00 tout à l’heure que le maire donnera le coup d’envoi des festivités, sur le Colosse. La municipalité n’a pas lésiné sur les moyens pour transformer le site. Les guirlandes électriques et des fleurs tout le long de l’allée principale, sur plusieurs centaines de mètres.
Les tentes blanches pour recevoir les forains ont été dressées, un large podium attend un programme culturel très varié et les temples de la ville sont aussi au diapason. C’est le cas de celui de Siva Soupramanien du Petit-Bazar qui ouvrira ses portes au public.
La Maison Valliamée accueillera elle, le bramachari Akilesh pour des contes indiens parmi les plus mystérieux de son répertoire. A la médiathèque Auguste Lacaussade, l’écrivain et conteuse André Denise Désiré emmènera les enfants dans un voyage enchanteur et émouvant.
Ce voyage étincelant de la lumière des saris multicolores et des bijoux scintillants, et de subtils parfums de fleurs, d’épices et de plats indiens, est aussi une porte ouverte sur l’Inde, sa culture et son passé. Notre passé.
Jean-Régis Ramsamy, à travers “Causeries et dédicaces” autour de son livre “La galaxie des noms Malbars” tournera quelques pages de ce patrimoine hérité des engagés indiens. Antoine Pitachaya, lui, ira sans doute plus loin, jusqu’à l’antiquité tamoule.
Peut-être que certains y trouveront leur source de la lumière, inépuisable, ou au moins un “fanal” ou “un lampe pétrole” pour enfin “sorte dan fénoir”…
Bonne fête de la Lumière et bon Dipavali à toutes et à tous !
Le maire a assumé son choix. Eric Fruteau a évité la polémique pour ne pas mettre de l’huile sur le feu. Les commerçants du centre ville ont essayé de le convaincre de ne pas modifier le trajet du défilé, le premier magistrat a maintenu sa décision (cliquer ici pour lire l’article de lundi 13 octobre et regarder la vidéo d'Eric Fruteau).
C’est vers 11h00 tout à l’heure que le maire donnera le coup d’envoi des festivités, sur le Colosse. La municipalité n’a pas lésiné sur les moyens pour transformer le site. Les guirlandes électriques et des fleurs tout le long de l’allée principale, sur plusieurs centaines de mètres.
Les tentes blanches pour recevoir les forains ont été dressées, un large podium attend un programme culturel très varié et les temples de la ville sont aussi au diapason. C’est le cas de celui de Siva Soupramanien du Petit-Bazar qui ouvrira ses portes au public.
La Maison Valliamée accueillera elle, le bramachari Akilesh pour des contes indiens parmi les plus mystérieux de son répertoire. A la médiathèque Auguste Lacaussade, l’écrivain et conteuse André Denise Désiré emmènera les enfants dans un voyage enchanteur et émouvant.
Ce voyage étincelant de la lumière des saris multicolores et des bijoux scintillants, et de subtils parfums de fleurs, d’épices et de plats indiens, est aussi une porte ouverte sur l’Inde, sa culture et son passé. Notre passé.
Jean-Régis Ramsamy, à travers “Causeries et dédicaces” autour de son livre “La galaxie des noms Malbars” tournera quelques pages de ce patrimoine hérité des engagés indiens. Antoine Pitachaya, lui, ira sans doute plus loin, jusqu’à l’antiquité tamoule.
Peut-être que certains y trouveront leur source de la lumière, inépuisable, ou au moins un “fanal” ou “un lampe pétrole” pour enfin “sorte dan fénoir”…
Bonne fête de la Lumière et bon Dipavali à toutes et à tous !