L’avis avait été remis au gouvernement le 23 décembre, mais n’a été rendu public que mardi soir. À l’intérieur, le Conseil scientifique a proposé trois options face à un risque de surcroît de contaminations en janvier après les fêtes de fin d’année.
La première option, la plus crainte de toutes, a finalement été écartée par le gouvernement. Elle consistait à instaurer un confinement strict dès le 28 décembre.
La deuxième option consiste en réponse différée et adaptée en cas de surcroît de contamination. Celle-ci repose sur une réaction rapide début janvier pour ralentir la circulation du virus. Ainsi, les activités sociales ou économiques à risques seraient limitées.
La dernière option est une réponse plus tardive. Elle se base sur le nombre de nouvelles hospitalisations qui entraînerait des mesures de restrictions accrues, pouvant aller jusqu’à un confinement prolongé. Cette option n’est pas privilégiée par le Conseil scientifique qui craint qu’une intervention trop tardive nécessite des mesures plus sévères et plus longues.