Plusieurs auxiliaires de vie employées à l’Arast et adhérentes à Agir pou nout tout, ont réuni la presse cet après-midi à Bras-Panon. Frania Fasy et ses collègues voulaient dénoncer les conséquences de la situation dans laquelle se trouve l’Arast.
Frania Fasy et ses collègues d’abord évoqué la crainte des “gramounes” et les personnes handicapées qui ne cessent de leur demander, “si oui ou non l’Arast, c’est fini. Ils craignent qu’on ne soit plus là pour les aider dans leur vie de tous les jours”.
“La semaine dernière, nous étions absentes une journée pour aller manifester devant les grilles du Conseil général, vous n’imaginez ce que notre absence génère comme stress chez ces personnes”.
Ce jour-là, bon nombre d’employés de l’Arast en grève ont d’abord rendu visite à leurs “patients” avant de se rendre à la manifestation à Saint-Denis. Au retour, plusieurs ont fait un détour “chez leurs gramounes”.
“Aujourd’hui, nous sommes inquiets pour eux. On se pose beaucoup de questions sur ce qu’ils vont devenir si l’Arast est liquidée lundi. Ces personnes ont besoin d’attention, de soin et de tendresse. Nous sommes parfois leur seul lien avec l’extérieur”, explique Frania Fasy.
“Nous sommes également inquiets pour notre emploi, un peu plus depuis cet après-midi”, et ce après que le Conseil général ait demandé à l’Arast de “définir un périmètre a minima”, concernant le nombre de licenciements contenu dans le plan de sauvegarde.
Le plan propose 180 licenciements, ce chiffre pourrait monter à 500, si l’on se réfère aux préconisations du Conseil général. L’inquiétude de ces auxiliaires de vie semble de plus en plus justifiée.
Frania Fasy et ses collègues d’abord évoqué la crainte des “gramounes” et les personnes handicapées qui ne cessent de leur demander, “si oui ou non l’Arast, c’est fini. Ils craignent qu’on ne soit plus là pour les aider dans leur vie de tous les jours”.
“La semaine dernière, nous étions absentes une journée pour aller manifester devant les grilles du Conseil général, vous n’imaginez ce que notre absence génère comme stress chez ces personnes”.
Ce jour-là, bon nombre d’employés de l’Arast en grève ont d’abord rendu visite à leurs “patients” avant de se rendre à la manifestation à Saint-Denis. Au retour, plusieurs ont fait un détour “chez leurs gramounes”.
“Aujourd’hui, nous sommes inquiets pour eux. On se pose beaucoup de questions sur ce qu’ils vont devenir si l’Arast est liquidée lundi. Ces personnes ont besoin d’attention, de soin et de tendresse. Nous sommes parfois leur seul lien avec l’extérieur”, explique Frania Fasy.
“Nous sommes également inquiets pour notre emploi, un peu plus depuis cet après-midi”, et ce après que le Conseil général ait demandé à l’Arast de “définir un périmètre a minima”, concernant le nombre de licenciements contenu dans le plan de sauvegarde.
Le plan propose 180 licenciements, ce chiffre pourrait monter à 500, si l’on se réfère aux préconisations du Conseil général. L’inquiétude de ces auxiliaires de vie semble de plus en plus justifiée.