Nouvelle escalade dans la guerre qui oppose Nassimah Dindar aux ex-salariés de l'ARAST.
Depuis hier, un nombre impressionnant de vigiles tout de noir vêtus encerclent le bâtiment du Palais de la Source. Ils sont là pour empêcher toute personne d'entrer à l'intérieur du périmètre du Palais. Les portails sont fermés avec chaines et cadenas. Et gare à la manifestante ou au journaliste qui voudrait escalader la clôture!
Le Conseil général est devenu un bunker où même les administrés n'ont plus le droit d'entrer!
Un comble quand on sait que la Présidente du Conseil général traine les ex-salariés de l'ARAST devant les tribunaux demain matin alors qu'ils n'occupaient que le hall du bâtiment, et que les salariés et les administrés pouvaient vaquer à leurs occupations.
Cette nuit, la présidente du Département a envoyé un huissier à minuit pour photographier les personnes dormant sous le hall en plein sommeil, et ensuite relever leurs identités... A ce sujet, on est en droit de s'interroger sur la déontologie d'un huissier acceptant une telle mission !
Et ce matin, les vigiles empêchaient que les soutiens à l'extérieur transmettent de la nourriture et des boissons à la vingtaine de femmes et aux deux hommes encore enfermés à l'intérieur. Ce qui a entrainé la colère d'une manifestante qui avait besoin de médicaments et qui craignait que les vigiles ne les bloquent...
Depuis hier, un nombre impressionnant de vigiles tout de noir vêtus encerclent le bâtiment du Palais de la Source. Ils sont là pour empêcher toute personne d'entrer à l'intérieur du périmètre du Palais. Les portails sont fermés avec chaines et cadenas. Et gare à la manifestante ou au journaliste qui voudrait escalader la clôture!
Le Conseil général est devenu un bunker où même les administrés n'ont plus le droit d'entrer!
Un comble quand on sait que la Présidente du Conseil général traine les ex-salariés de l'ARAST devant les tribunaux demain matin alors qu'ils n'occupaient que le hall du bâtiment, et que les salariés et les administrés pouvaient vaquer à leurs occupations.
Cette nuit, la présidente du Département a envoyé un huissier à minuit pour photographier les personnes dormant sous le hall en plein sommeil, et ensuite relever leurs identités... A ce sujet, on est en droit de s'interroger sur la déontologie d'un huissier acceptant une telle mission !
Et ce matin, les vigiles empêchaient que les soutiens à l'extérieur transmettent de la nourriture et des boissons à la vingtaine de femmes et aux deux hommes encore enfermés à l'intérieur. Ce qui a entrainé la colère d'une manifestante qui avait besoin de médicaments et qui craignait que les vigiles ne les bloquent...
