
Nous avons appris sur un site d’information en ligne qu’un ancien candidat macroniste aux élections législatives de la 6e circonscription de La Réunion, aurait été désigné membre du Conseil National de la Refondation. Cette nouvelle instance, voulue par le président Macron, aurait pour but affiché d'associer citoyens, forces politiques, économiques, sociales, associatives et élus des territoires aux décisions politiques.
Rappelons que dans son précédent quinquennat, le président Macron a créé des instances de concertation telles que le Grand Débat National ou la Convention Citoyenne pour le Climat, qui ont abouti à une grande désillusion démocratique car les attentes des Françaises et des Français n’ont pas été entendues (loi climat en dessous des exigences des membres de la Convention Citoyenne pour le Climat et soumise à l’influence des lobbys).
Nous sommes donc en droit de penser que ce nouveau Conseil National de la Refondation, où siègeraient des proches de l’exécutif, constitue une manœuvre grossière visant à contourner l’Assemblée nouvellement élue.
Au lendemain de la défaite cinglante du camp présidentiel aux élections législatives, alors que la France risque de connaître une crise politique voire institutionnelle sans précédent qui montre que le présidentialisme est à bout de souffle, le pouvoir macronien ferait mieux de respecter l’expression de la volonté populaire au lieu de créer des comités infiltrés de partisans.
Rappelons que dans son précédent quinquennat, le président Macron a créé des instances de concertation telles que le Grand Débat National ou la Convention Citoyenne pour le Climat, qui ont abouti à une grande désillusion démocratique car les attentes des Françaises et des Français n’ont pas été entendues (loi climat en dessous des exigences des membres de la Convention Citoyenne pour le Climat et soumise à l’influence des lobbys).
Nous sommes donc en droit de penser que ce nouveau Conseil National de la Refondation, où siègeraient des proches de l’exécutif, constitue une manœuvre grossière visant à contourner l’Assemblée nouvellement élue.
Au lendemain de la défaite cinglante du camp présidentiel aux élections législatives, alors que la France risque de connaître une crise politique voire institutionnelle sans précédent qui montre que le présidentialisme est à bout de souffle, le pouvoir macronien ferait mieux de respecter l’expression de la volonté populaire au lieu de créer des comités infiltrés de partisans.