
Les propos de la présidente du Médef national, sont venus confirmer la position de sa section en Guadeloupe. La FNSEA a la même ligne de conduite. Ces décisions ne permettent pas pour l’heure l’extension de l’accord Bino sur les salaires, à toutes les entreprises de l’île.
“Le Médef et la FNSEA ont rappelé leur opposition à cette extension, la semaine dernière lors d’une réunion au ministère du travail, à Paris”, précise le site Bondamanjak.com.
Laurence Parisot a motivé sa décision au micro de Jean-Michel Apathie : “Nous ne signerons pas l'accord (...) Nous ne pouvons accepter qu'un accord qui laisse entendre que l'économie guadeloupéenne est encore une économie d'esclavage puisse être ainsi cautionné, y compris cautionné par l'Etat”.
L’amertume qui découle d’un mouvement social qui a duré 44 jours, a laissé des traces. Tout au long de la crise sociale et économique, une partie de la population de la Guadeloupe avait pointé du doigt les “Békés”, c’est-à-dire les familles riches de l’île…
“Le Médef et la FNSEA ont rappelé leur opposition à cette extension, la semaine dernière lors d’une réunion au ministère du travail, à Paris”, précise le site Bondamanjak.com.
Laurence Parisot a motivé sa décision au micro de Jean-Michel Apathie : “Nous ne signerons pas l'accord (...) Nous ne pouvons accepter qu'un accord qui laisse entendre que l'économie guadeloupéenne est encore une économie d'esclavage puisse être ainsi cautionné, y compris cautionné par l'Etat”.
L’amertume qui découle d’un mouvement social qui a duré 44 jours, a laissé des traces. Tout au long de la crise sociale et économique, une partie de la population de la Guadeloupe avait pointé du doigt les “Békés”, c’est-à-dire les familles riches de l’île…