Entré en scène par petites foulées dans son QG de campagne fraîchement inauguré, Didier Robert s’installe au milieu d’une vingtaine d’élus de Région composant son équipe. Il expose méthodiquement ses objectifs pour 2015 et revient sur le bilan de son mandat, chiffres à l’appui. « Nous avons injecté 500 million d’euros pour relancer l’activité des grands chantiers, mais aussi rénové les aéroports et mis en place le Trans Eco Express. Nous avons également apporté 200 million d’euros au développement numérique de l’ile et de nouveaux projets sont à venir. »
Tourisme, agriculture, éducation, transports, le président de région sortant ne manque pas de souligner à quel point la Région a investi, et doit continuer dans sa lancée. « J’entend les critiques et nous sommes conscients que même si tout a été mis en oeuvre, tous les chantiers ne sont pas terminés » souligne Didier Robert. Il estime cependant, chiffres de l’INSEE à l’appui, que si la Réunion a connu un taux de croissance de 3,1% en 2014, cette amélioration est directement imputable aux investissements réalisés par son équipe.
Place aujourd’hui donc à une « campagne de terrain » et à la critique acerbe du gouvernement en place. « Régression, casse sociale », le candidat ne mâche pas ses mots et ne manque pas d’analyser les « couples politiques » qui composent l’opposition et selon lui ne pourront pas faire long feu.
Sans pour autant « lire dans le marc de café », Didier Robert semble pourtant confiant et estime que « ces bulles de savon devrait éclater le soir du premier tour ». Le premier test sera son premier meeting et rendez-vous est donné le 18 Octobre à Saint-Paul.
Tourisme, agriculture, éducation, transports, le président de région sortant ne manque pas de souligner à quel point la Région a investi, et doit continuer dans sa lancée. « J’entend les critiques et nous sommes conscients que même si tout a été mis en oeuvre, tous les chantiers ne sont pas terminés » souligne Didier Robert. Il estime cependant, chiffres de l’INSEE à l’appui, que si la Réunion a connu un taux de croissance de 3,1% en 2014, cette amélioration est directement imputable aux investissements réalisés par son équipe.
Place aujourd’hui donc à une « campagne de terrain » et à la critique acerbe du gouvernement en place. « Régression, casse sociale », le candidat ne mâche pas ses mots et ne manque pas d’analyser les « couples politiques » qui composent l’opposition et selon lui ne pourront pas faire long feu.
Sans pour autant « lire dans le marc de café », Didier Robert semble pourtant confiant et estime que « ces bulles de savon devrait éclater le soir du premier tour ». Le premier test sera son premier meeting et rendez-vous est donné le 18 Octobre à Saint-Paul.