Jeudi soir, Gilles Hubert semblait surpris par les accusations de « harcèlement sexuel » portées publiquement sur le réseau social de l’opposant Philippe Robert. Ce dernier avançait lui-même avec prudence en parlant d' »info ou d’intox ? ». Le même qui, la semaine dernière, avait évoqué le jeu de chaises musicales qui se tramait au sein de la majorité.
« Il s’agit d’une polémique stérile. Je laisse M. Robert à ses turpitudes »‘, nous expliquait l’intangible bras droit de Vanessa Miranville depuis 2014. Gilles Hubert, qui nous affirmait n’avoir pas eu connaissance de ce post Facebook publié dans l’après-midi de jeudi, ne souhaitait pas plus le commenter. Dans le même temps, une réponse officielle de la maire nous était promise pour ce vendredi au mieux, ou samedi au pire.
Mercredi, par voie de communiqué, le futur ex-1er adjoint possessionnais expliquait sa rétrogradation par ses charges de responsabilité et de travail qui « n’ont cessé d’augmenter de façon exponentielle » depuis son élection au Département.
« Mes délégations au département m’amènent à des représentations dans de très nombreuses instances (Office de l’Eau, Comité de l’Eau et de la Biodiversité, SDIS … ). Je dois également assumer de nouvelles responsabilités familiales, et je me dois d’y consacrer le temps et l’énergie nécessaires pour les assumer pleinement », argumentait Gilles Hubert.