
Dans le Nord de l’Ile Maurice, une entreprise familiale s’attache à redorer le blason de la vanille mauricienne, aux forts arômes sucrés et à la savoureuse essence.
Sans additifs chimiques et 100% naturelle, la vanille mauricienne a tout pour séduire les plus fins gourmets, avec un label de qualité "Culture Vanille", clairement accolé à sa distribution.
Les gousses récoltées non fendues et séchées à maturité, sont destinées au marché local et international, comme le relate le site lexpress.mu.
"Nous ne conservons que les gousses de plus de 16 cm, qui sont larges, pleines et au contenu prometteur. Nous surveillons patiemment leur affinage, avant de les empaqueter sous vide pour en conserver les saveurs… Nous ciblons principalement les restaurants, les chefs de cuisine, ou encore la grande distribution", précise le responsable de l’entreprise.
Près de deux tonnes de vanilles souples parfumées de plus de 16 cm
Près de deux tonnes de vanilles souples parfumées de plus de 16 cm, emballées sous vide pour garder fraîcheur et saveur sont ainsi produites artisanalement. Le kilo de vanille mauricienne se vend au prix de 4.000 à 6.000 roupies le kilo (100 à 150 euros).
Les petits planteurs locaux qui cultivent la vanille dans des champs situés au Nord, Nord-Est et Sud-Est de Maurice contribuent à approvisionner la société, au sein d'un partenariat établi sous la forme du commerce équitable.
Un succès grandissant puisque les vanilles issues de la célèbre variété Vanilla Planifolia s’exportent vers tous les horizons pour une clientèle d’Ukraine, de Belgique, de Chine, d’Espagne et d’Angleterre.
A terme la petite entreprise familiale compte dans les années venir jouer dans la cour des grands, à l’instar des les 1.600 tonnes mises sur le marché par Madagascar.
Avec un projet qui veut développer une plantation industrielle de vanille, dans le cadre du concept "Maurice île durable" initié par le gouvernement, l’entreprise familiale ne veut pas louper le coche en produisant à plus grande échelle.
L’autonomie énergétique avec captage d’eau de pluie, recyclage et auto-compostage seront au cœur de ce chantier ambitieux pour conquérir de nouveaux marchés.
L’acquisition d’un cryobroyeur est également à l’ordre du jour pour valoriser la production de la vanille en poudre, en plus grande quantité.
Source : http://www.indian-ocean-times.com
Sans additifs chimiques et 100% naturelle, la vanille mauricienne a tout pour séduire les plus fins gourmets, avec un label de qualité "Culture Vanille", clairement accolé à sa distribution.
Les gousses récoltées non fendues et séchées à maturité, sont destinées au marché local et international, comme le relate le site lexpress.mu.
"Nous ne conservons que les gousses de plus de 16 cm, qui sont larges, pleines et au contenu prometteur. Nous surveillons patiemment leur affinage, avant de les empaqueter sous vide pour en conserver les saveurs… Nous ciblons principalement les restaurants, les chefs de cuisine, ou encore la grande distribution", précise le responsable de l’entreprise.
Près de deux tonnes de vanilles souples parfumées de plus de 16 cm
Près de deux tonnes de vanilles souples parfumées de plus de 16 cm, emballées sous vide pour garder fraîcheur et saveur sont ainsi produites artisanalement. Le kilo de vanille mauricienne se vend au prix de 4.000 à 6.000 roupies le kilo (100 à 150 euros).
Les petits planteurs locaux qui cultivent la vanille dans des champs situés au Nord, Nord-Est et Sud-Est de Maurice contribuent à approvisionner la société, au sein d'un partenariat établi sous la forme du commerce équitable.
Un succès grandissant puisque les vanilles issues de la célèbre variété Vanilla Planifolia s’exportent vers tous les horizons pour une clientèle d’Ukraine, de Belgique, de Chine, d’Espagne et d’Angleterre.
A terme la petite entreprise familiale compte dans les années venir jouer dans la cour des grands, à l’instar des les 1.600 tonnes mises sur le marché par Madagascar.
Avec un projet qui veut développer une plantation industrielle de vanille, dans le cadre du concept "Maurice île durable" initié par le gouvernement, l’entreprise familiale ne veut pas louper le coche en produisant à plus grande échelle.
L’autonomie énergétique avec captage d’eau de pluie, recyclage et auto-compostage seront au cœur de ce chantier ambitieux pour conquérir de nouveaux marchés.
L’acquisition d’un cryobroyeur est également à l’ordre du jour pour valoriser la production de la vanille en poudre, en plus grande quantité.
Source : http://www.indian-ocean-times.com