Les hospitaliers sont mobilisés depuis ce vendredi matin pour protester contre la suppression de l’indexation sur les primes jugée comme illégale. Une délégation a été reçue en préfecture à St-Denis.
Suite à cette rencontre le Barachois a été débloqué. Une réponse positive à la suspension de la mesure jusqu'à la tenue d'une table ronde prévue pour lundi a été apportée par le sous-préfet.
"La colère des hospitaliers a payé" , se félicite Expédit Lock-Fat, secrétaire général du syndicat CFDT Santé Sociaux.
"Ce n'est pas une surrémunération", a insisté Lionel Camatchy de la CFTC. "C'est une perte de 100 à 200 euros par mois pour les agents".
Les grévistes dans leur combat ont reçu le soutien d' Ericka Bareigts. "Les syndicats ont obtenu une séance de travail. J'espère que des décisions plus raisonnables vont être prises [...] ce n'est pas une bonne décision et ce genre de décision peut avoir des conséquences au delà de la fonction publique hospitalière", a alerté la députée.
Suite à cette rencontre le Barachois a été débloqué. Une réponse positive à la suspension de la mesure jusqu'à la tenue d'une table ronde prévue pour lundi a été apportée par le sous-préfet.
"La colère des hospitaliers a payé" , se félicite Expédit Lock-Fat, secrétaire général du syndicat CFDT Santé Sociaux.
"Ce n'est pas une surrémunération", a insisté Lionel Camatchy de la CFTC. "C'est une perte de 100 à 200 euros par mois pour les agents".
Les grévistes dans leur combat ont reçu le soutien d' Ericka Bareigts. "Les syndicats ont obtenu une séance de travail. J'espère que des décisions plus raisonnables vont être prises [...] ce n'est pas une bonne décision et ce genre de décision peut avoir des conséquences au delà de la fonction publique hospitalière", a alerté la députée.