C’est la soupe au lait, en permanence.
Malheur à celui par qui le scandale arrive.
Les choses n’ arrivent pas par hasard…
C’ est ce qui est arrivé ce week-end à l’ éponyme Creolia qui a déjà vu pire..
Hôtel référencé du chef- lieu pour les évènements en tous genres comme pour servir de centre réquisitionné pour accueillir les entrants en quarantaine de Covid supposé.
Dans cet hôtel, c’est la gestion de l’ espace commun qui pose problème..et parfois avec des publics différents.
Même en tant qu’invité d’ un jour on peut s’ en rendre compte.
L’ environnement est souvent déterminant dans le déroulé des événements
Un événement familial privé sans écharpe tricolore qui dégénère en râlé-poussé…sans dent cassée, sauf un chignon défait. Un gros vacarme pour rien..Et quelques propos injurieux vociférés sans être compris et traduits par les destinataires ciblés .
Quand on est Maire , on l’est tout le temps au point d’ avoir le soutien garanti de tous les élus réunis, en dépit des couleurs politiques, sous la même bannière, comme une chaîne de solidarité.
Les raisons, même en l’absence d’émotions partagées, on les trouvera bien plus tard.
Mais certains pourraient être déçus de leur élan de générosité trop spontanée…ou de leur naïveté.
La réciprocité n’est jamais garantie.
Les auteurs ciblés recevront une leçon d’ humiliation pour corriger leur museau à moins que pris de court devant les événements, il s’agissait de les protéger et libérer le site privé de l’ hôtel des badauds pas si badauds que ça mais plutôt orientés.
La partie d’ emblée était inégale, les réseaux de relations dans la population n’ étaient pas les-mêmes !
Les interlocuteurs privilégiés non plus vis-à-vis des institutions policières et judiciaires.
Le terrain était conquis pour les uns.
Bah, ça ne me crée pas plus d’émotions que ça.
Ils découvriront après le confort de leur hôtel, l’ inconfort d’ une cellule de Commissariat pour y passer la nuit, à dormir ses les carreaux et à sentir tellement, le lendemain, qu’ils n’ oseront même pas prendre un transport public, pour rentrer, tellement ils seront puants..
De suite juridique basta ! Le délit n’ est pas mesurable en préjudice corporel et en moralité le Tribunal aura du mal à distinguer la sphère privée de la sphère d’ élu..même si entre temps l’ un des protagonistes aura pu en bénéficier des avantages et égards dûs à son rang.
Sur le déroulé je ne suis pas autorisé pour transcrire les événements. Je publie à titre privé, non fédéré, comme pour faire naître une vérité plausible, librement et pas du tout de façon administrative ou policière…
Nul doute que, sauf si Twitter ou Facebook font le coup aux internautes de ce qu’ils ont fait à Trump, les réseaux sociaux se chargeront de rétablir la vérité que les autorités sous pression politique et prises en otage n’ osent pas toujours voir.