
Une nouvelle crise secoue la compagnie malgache Air Madagascar, après l'interdiction de vol en Europe de ses deux Boeing 767-300, la mise en place d'une cellule de crise, l'IATA a décidé de suspendre "les émissions de la compagnie" à travers le BSP (Billing and Settlement Plan) ou Organisation et régulation des paiements et des facturations en France, "qui n'est autre que sa filiale", souligne l'Express de Madagascar.
Une décision qui n'affectera pas les passagers de la compagnie, mais qui laisse cette dernière "perplexe". Normalement, une telle décision de l'IATA n'intervient qu'en cas de défaut de paiement ou faillite de la compagnie, mais un représentant de la compagnie assure que "nous n'avons aucun incident de paiement avec le BSP".
Air Madagascar a demandé des éclaircissements sur cette décision prise par l'IATA, éclaircissements restés sans réponse pour le moment. Cette nouvelle sanction pourrait être liée à la décision d'interdiction de vols, par la commission européenne, "étant dans l'annexe B, la sanction ne doit pourtant pas concerner la compagnie elle-même, d'autant plus que les mesures prises sont conformes aux normes européennes", explique un représentant de la compagnie à l'Express de Madagascar.
La compagnie a envoyé tous les documents nécessaires à la poursuite de son exploitation commerciale en Europe, en effet Air Madagascar a affrété deux avions, un Boeing 767 et un Airbus A330, via les compagnies AIr Italy et Atlas Jet, pour pallier à l'interdiction de vol de ses deux 767-300
En attendant la compagnie peut continuer à exercer normalement, cette décision de l'IATA n'affecte pas la vente de billet, des décisions ayant été prises par la direction de la compagnie pour que les billets soient "émis en automatique par les agences, en les validant sur la compagnie Hahn Air", plateforme de billetterie électronique européenne coopérant avec la compagnie Air Madagascar.
Mais les employés de la compagnie malgache commencent sérieusement à se poser des questions sur les décisions prises par les autorités européennes.
Une décision qui n'affectera pas les passagers de la compagnie, mais qui laisse cette dernière "perplexe". Normalement, une telle décision de l'IATA n'intervient qu'en cas de défaut de paiement ou faillite de la compagnie, mais un représentant de la compagnie assure que "nous n'avons aucun incident de paiement avec le BSP".
Air Madagascar a demandé des éclaircissements sur cette décision prise par l'IATA, éclaircissements restés sans réponse pour le moment. Cette nouvelle sanction pourrait être liée à la décision d'interdiction de vols, par la commission européenne, "étant dans l'annexe B, la sanction ne doit pourtant pas concerner la compagnie elle-même, d'autant plus que les mesures prises sont conformes aux normes européennes", explique un représentant de la compagnie à l'Express de Madagascar.
La compagnie a envoyé tous les documents nécessaires à la poursuite de son exploitation commerciale en Europe, en effet Air Madagascar a affrété deux avions, un Boeing 767 et un Airbus A330, via les compagnies AIr Italy et Atlas Jet, pour pallier à l'interdiction de vol de ses deux 767-300
En attendant la compagnie peut continuer à exercer normalement, cette décision de l'IATA n'affecte pas la vente de billet, des décisions ayant été prises par la direction de la compagnie pour que les billets soient "émis en automatique par les agences, en les validant sur la compagnie Hahn Air", plateforme de billetterie électronique européenne coopérant avec la compagnie Air Madagascar.
Mais les employés de la compagnie malgache commencent sérieusement à se poser des questions sur les décisions prises par les autorités européennes.