Le constat est accablant, le passage de Jade, ex-dépression tropicale a eu des conséquences désastreuses pour un nombre de maraîchers, ceux qui ne cultivent pas sous serres.
Selon Fabrice Robert, président de l’association des maraîchers du Nord, les plus gros dégâts sont à déplorer dans le Sud. “Petite-Ile et Saint-Joseph ont été très durement touchés”. Ce qui ne présage rien de bon pour cette semaine. “La Petite-Ile produit du chou, Saint-Joseph, du chou-fleur”. Il faut donc s’attendre à une augmentation de prix sur ces légumes, dès cette semaine.
“Les prix ont déjà commencé à monter”, a constaté Maxime Rassaby, élu à la mairie de Saint-Denis et responsable de la régie des marchés. C’est déjà le cas de la salade. Dans le Nord, plusieurs hectares de salades ont été détruits, à l’exception de celles cultivées sous serres.
Et, aujourd’hui, nombreux sont les maraîchers à utiliser les serres pour protéger leur production des intempéries.
Aussi, le consommateur doit être prudent. Comme pour la tomate, il y a encore de la salade à La Réunion. Aussi, certaines hausses ne sont pas justifiées. Comme avant période cyclonique, ils sont quelques agriculteurs et revendeurs à conserver du stock.
Puis, ils ressortent les produits au moment opportun pour les vendre le plus cher possible. C’est un peu à l’image des pétroliers et de leur stock de trois mois, ou des augmentations successives des prix, toujours à cause de la hausse du prix du baril de pétrole…
Et au bout de cette solide et indestructible chaîne, il y a les consommateurs, bien sûr.
Selon Fabrice Robert, président de l’association des maraîchers du Nord, les plus gros dégâts sont à déplorer dans le Sud. “Petite-Ile et Saint-Joseph ont été très durement touchés”. Ce qui ne présage rien de bon pour cette semaine. “La Petite-Ile produit du chou, Saint-Joseph, du chou-fleur”. Il faut donc s’attendre à une augmentation de prix sur ces légumes, dès cette semaine.
“Les prix ont déjà commencé à monter”, a constaté Maxime Rassaby, élu à la mairie de Saint-Denis et responsable de la régie des marchés. C’est déjà le cas de la salade. Dans le Nord, plusieurs hectares de salades ont été détruits, à l’exception de celles cultivées sous serres.
Et, aujourd’hui, nombreux sont les maraîchers à utiliser les serres pour protéger leur production des intempéries.
Aussi, le consommateur doit être prudent. Comme pour la tomate, il y a encore de la salade à La Réunion. Aussi, certaines hausses ne sont pas justifiées. Comme avant période cyclonique, ils sont quelques agriculteurs et revendeurs à conserver du stock.
Puis, ils ressortent les produits au moment opportun pour les vendre le plus cher possible. C’est un peu à l’image des pétroliers et de leur stock de trois mois, ou des augmentations successives des prix, toujours à cause de la hausse du prix du baril de pétrole…
Et au bout de cette solide et indestructible chaîne, il y a les consommateurs, bien sûr.