L’assemblée générale de la CGPER visant à désigner le nouveau président est reportée. Prévue pour le mois d’octobre, elle devrait finalement avoir lieu "en fin d’année". L’annonce a été faite par la confédération ce lundi après-midi, à Villèle.
Si le poste est vacant depuis décembre 2016, suite à la démission de Jean-Yves Minatchy, le syndicat juge ce report nécessaire au bon déroulement de l’assemblée. "On a décalé parce qu’on est en retard dans la campagne sucrière. Sur Bois-Rouge comme sur le Gol. Et il faut du temps pour bien la préparer", justifie Jules Houpiarpanin, le porte-parole.
"Une seule liste"
Ce dernier est d’ailleurs le candidat pressenti pour être tête de la liste. "Il a été désigné porte-parole, en principe c’est lui qui devrait être le président", anticipe Jean-Yves Minatchy, présent pour l’occasion.
Bien que des voix dissidentes se soient récemment fait entendre, la CGPER indique d’ores et déjà qu’il n’y aura qu’une seule liste. "Il y a une seule CGPER. Si on fait deux listes, c’est comme s’il y avait deux syndicats", considère en effet Jules Houpiarpanin, pour qui cette élection n'en sera pas moins "démocratique".
Inquiétude des planteurs
Également préoccupée par les élections en 2019 de la chambre verte, la confédération tente de se montrer soudée malgré les querelles qu'elle préfère régler "en interne" avant l'assemblée générale. L'absence remarquée de Jean-Bernard Gonthier (vice-président de la CGPER) ce lundi est d'ailleurs expliquée par l'emploi du temps chargé du président de la chambre d'agriculture.
"Les divergences ne sont pas la priorité. On ne sait même pas si on va terminer la campagne sucrière", reprend Jean-Yves Minatchy. Isidore Laravine, trésorier de la CGPER, rappelle en effet l'inquiétude des planteurs, soulignant un manque de main d'œuvre pour la coupe de la canne et la "perte de richesse" par rapport à 2016.
Si le poste est vacant depuis décembre 2016, suite à la démission de Jean-Yves Minatchy, le syndicat juge ce report nécessaire au bon déroulement de l’assemblée. "On a décalé parce qu’on est en retard dans la campagne sucrière. Sur Bois-Rouge comme sur le Gol. Et il faut du temps pour bien la préparer", justifie Jules Houpiarpanin, le porte-parole.
"Une seule liste"
Ce dernier est d’ailleurs le candidat pressenti pour être tête de la liste. "Il a été désigné porte-parole, en principe c’est lui qui devrait être le président", anticipe Jean-Yves Minatchy, présent pour l’occasion.
Bien que des voix dissidentes se soient récemment fait entendre, la CGPER indique d’ores et déjà qu’il n’y aura qu’une seule liste. "Il y a une seule CGPER. Si on fait deux listes, c’est comme s’il y avait deux syndicats", considère en effet Jules Houpiarpanin, pour qui cette élection n'en sera pas moins "démocratique".
Inquiétude des planteurs
Également préoccupée par les élections en 2019 de la chambre verte, la confédération tente de se montrer soudée malgré les querelles qu'elle préfère régler "en interne" avant l'assemblée générale. L'absence remarquée de Jean-Bernard Gonthier (vice-président de la CGPER) ce lundi est d'ailleurs expliquée par l'emploi du temps chargé du président de la chambre d'agriculture.
"Les divergences ne sont pas la priorité. On ne sait même pas si on va terminer la campagne sucrière", reprend Jean-Yves Minatchy. Isidore Laravine, trésorier de la CGPER, rappelle en effet l'inquiétude des planteurs, soulignant un manque de main d'œuvre pour la coupe de la canne et la "perte de richesse" par rapport à 2016.