Appelés pour des faits de violences conjugales, les policiers du commissariat de Saint-André constatent que celles-ci ne sont absolument pas avérées. Pour autant, ils sont étonnés de trouver au domicile visité une panoplie complète de matériel de tatouage.
Ils décident alors de mener des investigations. Bien leur en a pris car ils découvrent que ce jeune homme de 28 ans pratique depuis 2 ans le métier de tatoueur dans l’illégalité la plus totale. S’il n’est pas poursuivi pour les violences conjugales, il l’est en revanche pour arnaque à la CGSS et pour travail clandestin.
Il est convoqué devant la justice au début de l’année prochaine pour s’expliquer et rendre des comptes sur son activité non déclarée.