
Le ministre de la justice a précisé toutefois : "Il faudra être attentif aux situations particulières (...). Il y aura des exceptions (...). Le jeune homme de 17 ans et demi qui a une relation avec une jeune fille de 14 ans et demi ne peut pas devenir un criminel quand il a 18 ans. On va prévoir un écart d'âge entre l'auteur et la victime" rapporte France Info.
Concernant la prescription des faits de violences sexuelles, le gardes des Sceaux confirme l'idée d'une prescription "échelonnée". Il s'agira de prendre en compte le délai de 30 ans - à compter de la majorité - à partir de la dernière victime déclarée.
Le ministre de la justice a également indiqué vouloir que : "les parquets de France, tous les procureurs [...] ouvrent une enquête, même si les faits sont prescrits, pour que la victime puisse exprimer un certain nombre de choses". Une circulaire sera établie par le garde des Sceaux à cet effet.
Concernant la prescription des faits de violences sexuelles, le gardes des Sceaux confirme l'idée d'une prescription "échelonnée". Il s'agira de prendre en compte le délai de 30 ans - à compter de la majorité - à partir de la dernière victime déclarée.
Le ministre de la justice a également indiqué vouloir que : "les parquets de France, tous les procureurs [...] ouvrent une enquête, même si les faits sont prescrits, pour que la victime puisse exprimer un certain nombre de choses". Une circulaire sera établie par le garde des Sceaux à cet effet.