
Bénédicte Pellerin va quitter le 7 décembre prochain son poste de directrice régionale d'Air France pour une belle promotion puisqu'elle va s'occuper au siège de la compagnie de toutes les 1ères classes d'Air France dans le monde.
Il faut dire qu'elle a effectué un bon travail depuis sa prise de fonction, il y a de celà 5 ans. Les vieux Réunionnais ont encore en mémoire les conditions déplorables dans lesquelles on voyageait il y a quelques années sur ce que l'on appelait encore "la compagnie nationale". Pour avoir récemment voyagé sur Air France, je peux témoigner -et je m'en suis fait la remarque en m'installant dans mon fauteuil de classe Eco- que les conditions de vol se sont grandement améliorées. Etant d'un gabarit on va dire imposant (1m87 pour un nombre de kilos que je vous laisse deviner...), j'ai été été étonné que mes genoux ne rentrent pas dans le fauteuil placé devant moi. J'ai même pu étendre mes jambes complètement, un exploit qui m'était interdit il y a de celà quelques années.
Le service à bord s'est également amélioré et la nourriture était correcte, ce qui n'a pas toujours été le cas. Par contre, si je puis me permettre, un effort reste à faire sur le petit déjeuner...
Alors, bien sûr, tout celà n'est pas totalement dû à Bénédicte Pellerin. Mais nul doute qu'elle y a contribué. Et le résultat est là : Air France a gagné trois points de parts de marché, sans doute également grâce à l'accroissement du nombre de rotations sur la Réunion : de 7 à 9 vols par semaine à 10 à 12 depuis un an.
Et puis appelons un chat un chat. Bénédicte Pellerin m'est apparue bien plus sympathique depuis qu'elle a tenté de mettre fin au monopole scandaleux des taxis sur la liaison Pierrefonds/Saint-Denis, où ils pratiquent des tarifs à la limite du racket. Bénédicte Pellerin a essayé de mettre en place des navettes de bus, au bénéfice des Réunionnais et des touristes et il est scandaleux que la Chambre de commerce ait choisi pour des raisons électoralistes de soutenir une poignée de taximen au détriment de milliers de Réunionnais.
On me dit que ce dossier n'est pas clôs et Bénédicte Pellerin elle même, il n'y a pas si longtemps, me laissait entendre qu'il était possible qu'il aboutisse prochainement. Ce serait bien qu'elle le mène à son terme avant son départ, le 7 décembre prochain. Car sinon, il risque bien de passer aux oubliettes...
Il faut dire qu'elle a effectué un bon travail depuis sa prise de fonction, il y a de celà 5 ans. Les vieux Réunionnais ont encore en mémoire les conditions déplorables dans lesquelles on voyageait il y a quelques années sur ce que l'on appelait encore "la compagnie nationale". Pour avoir récemment voyagé sur Air France, je peux témoigner -et je m'en suis fait la remarque en m'installant dans mon fauteuil de classe Eco- que les conditions de vol se sont grandement améliorées. Etant d'un gabarit on va dire imposant (1m87 pour un nombre de kilos que je vous laisse deviner...), j'ai été été étonné que mes genoux ne rentrent pas dans le fauteuil placé devant moi. J'ai même pu étendre mes jambes complètement, un exploit qui m'était interdit il y a de celà quelques années.
Le service à bord s'est également amélioré et la nourriture était correcte, ce qui n'a pas toujours été le cas. Par contre, si je puis me permettre, un effort reste à faire sur le petit déjeuner...
Alors, bien sûr, tout celà n'est pas totalement dû à Bénédicte Pellerin. Mais nul doute qu'elle y a contribué. Et le résultat est là : Air France a gagné trois points de parts de marché, sans doute également grâce à l'accroissement du nombre de rotations sur la Réunion : de 7 à 9 vols par semaine à 10 à 12 depuis un an.
Et puis appelons un chat un chat. Bénédicte Pellerin m'est apparue bien plus sympathique depuis qu'elle a tenté de mettre fin au monopole scandaleux des taxis sur la liaison Pierrefonds/Saint-Denis, où ils pratiquent des tarifs à la limite du racket. Bénédicte Pellerin a essayé de mettre en place des navettes de bus, au bénéfice des Réunionnais et des touristes et il est scandaleux que la Chambre de commerce ait choisi pour des raisons électoralistes de soutenir une poignée de taximen au détriment de milliers de Réunionnais.
On me dit que ce dossier n'est pas clôs et Bénédicte Pellerin elle même, il n'y a pas si longtemps, me laissait entendre qu'il était possible qu'il aboutisse prochainement. Ce serait bien qu'elle le mène à son terme avant son départ, le 7 décembre prochain. Car sinon, il risque bien de passer aux oubliettes...