Depuis la semaine dernière, l’activité grippale a augmenté. Environ 7,3% des consultations chez les médecins libéraux ont été consacrées à la grippe cette semaine. En tout, 40% de l’ensemble des grippes sont positives en H1N1. Et il faut s’attendre à ce que ce chiffre augmente car nous somme maintenant de façon certaine dans la pandémie, la grippe H1N1 va supplanter les grippes saisonnières dans les semaines à venir. Le nombre de cas de grippes augmentant, le nombre de décès pourrait bien être plus important que les années précédentes.
Les professionnels rappellent à la population que la grippe H1N1 ne présente pas de virulences particulières, elle se diffuse juste rapidement. "Il faut maintenant essayer de la gérer au mieux et éviter les cas graves", souligne Philippe Renault, médecin épidémiologiste à la CIRE (Cellule Interépidémiologique de La Réunion et de Mayotte).
Qui dit cas grave, dit personnes avec facteurs à risques comme les problèmes respiratoires, les problèmes d’immunodéficience, l’asthme, les grossesses, les personnes âgées de plus de 65 ans, les enfants en bas âge, l’obésité forte et les personnes diabétiques.
Raison majeure pour inciter la population à privilégier l’accès aux personnes vulnérables. Les professionnels ont noté une saturation dans les laboratoires pour analyser les prélèvements.
Concernant la rentrée scolaire, il est rappelé que tous les établissements scolaires ouvriront normalement. Si un cas de grippe est détecté chez un élève, il sera tout simplement renvoyé chez lui avec les mesures de précautions nécessaires pour une durée de sept jours minimum.
Enfin, des notes d’information et instructions ont été diffusées aussi bien dans les établissements scolaires que dans les pharmacies, les hôpitaux et le milieu professionnel. Les mairies et les collectivités ont également été associées à la lutte de pandémie grippale.
Les professionnels rappellent à la population que la grippe H1N1 ne présente pas de virulences particulières, elle se diffuse juste rapidement. "Il faut maintenant essayer de la gérer au mieux et éviter les cas graves", souligne Philippe Renault, médecin épidémiologiste à la CIRE (Cellule Interépidémiologique de La Réunion et de Mayotte).
Qui dit cas grave, dit personnes avec facteurs à risques comme les problèmes respiratoires, les problèmes d’immunodéficience, l’asthme, les grossesses, les personnes âgées de plus de 65 ans, les enfants en bas âge, l’obésité forte et les personnes diabétiques.
Raison majeure pour inciter la population à privilégier l’accès aux personnes vulnérables. Les professionnels ont noté une saturation dans les laboratoires pour analyser les prélèvements.
Concernant la rentrée scolaire, il est rappelé que tous les établissements scolaires ouvriront normalement. Si un cas de grippe est détecté chez un élève, il sera tout simplement renvoyé chez lui avec les mesures de précautions nécessaires pour une durée de sept jours minimum.
Enfin, des notes d’information et instructions ont été diffusées aussi bien dans les établissements scolaires que dans les pharmacies, les hôpitaux et le milieu professionnel. Les mairies et les collectivités ont également été associées à la lutte de pandémie grippale.