L'annonce de la mort de Ben Laden à 6h du matin (heure de la Réunion) est le pire scénario pour la presse écrite locale.
Imaginez : Alors que les sites internet, les radios et les télévisions ont pu apporter tout au long de la journée de nouvelles informations sur le sujet, les journalistes de la presse écrite ont du se contenter de bouillir d'impatience et de désespoir.
Les articles qu'ils ont écrit tout au long de la journée... ne seront mis en ligne que demain matin, 24 heures après l'événement.
Un symbole du retard inexorable pris par la presse écrite sur l'ensemble des autres médias plus réactifs. Il ne faut pas chercher plus loin les raisons de la baisse régulière des ventes des quotidiens...
Imaginez : Alors que les sites internet, les radios et les télévisions ont pu apporter tout au long de la journée de nouvelles informations sur le sujet, les journalistes de la presse écrite ont du se contenter de bouillir d'impatience et de désespoir.
Les articles qu'ils ont écrit tout au long de la journée... ne seront mis en ligne que demain matin, 24 heures après l'événement.
Un symbole du retard inexorable pris par la presse écrite sur l'ensemble des autres médias plus réactifs. Il ne faut pas chercher plus loin les raisons de la baisse régulière des ventes des quotidiens...