"Qu'il est difficile de 'bien vivre O Tampon' en tant qu'agent", ironise Force Ouvrière dans un communiqué. Le syndicat déplore "l’obstination" dont fait preuve la mairie qui "jusqu’à ce jour ne verse aucun salaire" à l’agent municipal. En février dernier, il avait bloqué l’accès à son lieu de travail sur lequel des problèmes de débordement de fosse, notamment, avaient été signalés.
Le 8 avril dernier, FO avait saisi par référé la justice. Cette dernière avait statué "qu'en l’état de l’instruction, le moyen tiré de l’erreur manifeste d’appréciation est de nature à faire naître un doute sérieux sur la légalité de la décision attaquée’ et a donc suspendu l’arrêté du maire", indique l'organisation syndicale. Par la suite, la CGSS a reconnu l’imputabilité de son accident de travail.
De plus, le conseil de discipline qui s’est réuni le 15 septembre dernier a "émis un avis dans lequel les faits reprochés à l’agent technique de 65 ans, dont la valeur professionnelle n'est pas contestée et qui n'a jamais fait l'objet d'aucune sanction disciplinaire en 27 ans de service, ne justifie le prononcé d'aucune sanction à son encontre".
"Après avoir échoué au référé, à la reconnaissance de l'imputabilité de son accident, au conseil disciplinaire, la mairie va-t-elle poursuivre son acharnement ?", s’interroge le syndicat qui assure "continuer à défendre cet agent et tout autre victime de décisions inhumaines et disproportionnées par tous moyens".
Le 8 avril dernier, FO avait saisi par référé la justice. Cette dernière avait statué "qu'en l’état de l’instruction, le moyen tiré de l’erreur manifeste d’appréciation est de nature à faire naître un doute sérieux sur la légalité de la décision attaquée’ et a donc suspendu l’arrêté du maire", indique l'organisation syndicale. Par la suite, la CGSS a reconnu l’imputabilité de son accident de travail.
De plus, le conseil de discipline qui s’est réuni le 15 septembre dernier a "émis un avis dans lequel les faits reprochés à l’agent technique de 65 ans, dont la valeur professionnelle n'est pas contestée et qui n'a jamais fait l'objet d'aucune sanction disciplinaire en 27 ans de service, ne justifie le prononcé d'aucune sanction à son encontre".
"Après avoir échoué au référé, à la reconnaissance de l'imputabilité de son accident, au conseil disciplinaire, la mairie va-t-elle poursuivre son acharnement ?", s’interroge le syndicat qui assure "continuer à défendre cet agent et tout autre victime de décisions inhumaines et disproportionnées par tous moyens".