
Le collectif "Jeunesse sa mèm mèm", créé il y a quatre jours, a organisé, ce jeudi, place des cheminots au Port, son premier rassemblement public.
Après avoir parcouru le programme des candidats en lice, les membres du collectif ne cachent pas leur soutien entier à l'actuel adjoint de la mairie Henri Hyppolite. "La personne que la été plus à notre écoute c'est M. Loulou", fait remarquer Olivier Payet, porte-parole, 36 ans et chef d'entreprise.
Le collectif a voulu alerter le candidat sur un point précis : sortir de l'image négative dont les Portois sont l'objet. "Je pense que les jeunes qui ont pu prendre part aux émeutes n'iraient pas brûler des poubelles s'ils avaient du travail dans leur ville", estime-t-il. "Après, c'est quand même une question d'éducation des parents", ajoute-t-il.
Le message que le collectif va essayer de faire passer "à la prochaine équipe qui dirigera la mairie est de créer une médiation entre les entreprises et les jeunes chômeurs. Les former, les mettre à niveau afin de répondre aux exigences des entreprises". Il fait le parallèle entre différentes villes portuaires de la zone océan Indien pour marquer le grand retard qu'a pris sa ville d'origine. "Redynamiser le Port, c'est attirer des entreprises, qui amènent des activités, qui elles-mêmes donnent l'envie aux gens extérieurs à la ville de venir au Port", explique-t-il.
"On demande à Loulou de rectifier toutes les lacunes du passé en redynamisant la ville", adresse Olivier Payet en guise de petite pression. "On suivra tout ça aussi bien avant qu'après les élections. C'est un travail de longue haleine", dit-il. "On ne veut pas imposer mais que notre message soit entendu, qu'il y ait un juste milieu", signale-t-il.
Après avoir parcouru le programme des candidats en lice, les membres du collectif ne cachent pas leur soutien entier à l'actuel adjoint de la mairie Henri Hyppolite. "La personne que la été plus à notre écoute c'est M. Loulou", fait remarquer Olivier Payet, porte-parole, 36 ans et chef d'entreprise.
Le collectif a voulu alerter le candidat sur un point précis : sortir de l'image négative dont les Portois sont l'objet. "Je pense que les jeunes qui ont pu prendre part aux émeutes n'iraient pas brûler des poubelles s'ils avaient du travail dans leur ville", estime-t-il. "Après, c'est quand même une question d'éducation des parents", ajoute-t-il.
Le message que le collectif va essayer de faire passer "à la prochaine équipe qui dirigera la mairie est de créer une médiation entre les entreprises et les jeunes chômeurs. Les former, les mettre à niveau afin de répondre aux exigences des entreprises". Il fait le parallèle entre différentes villes portuaires de la zone océan Indien pour marquer le grand retard qu'a pris sa ville d'origine. "Redynamiser le Port, c'est attirer des entreprises, qui amènent des activités, qui elles-mêmes donnent l'envie aux gens extérieurs à la ville de venir au Port", explique-t-il.
"On demande à Loulou de rectifier toutes les lacunes du passé en redynamisant la ville", adresse Olivier Payet en guise de petite pression. "On suivra tout ça aussi bien avant qu'après les élections. C'est un travail de longue haleine", dit-il. "On ne veut pas imposer mais que notre message soit entendu, qu'il y ait un juste milieu", signale-t-il.

Olivier Payet et Gaëlle Dubard expriment la volonté de la jeunesse portoise de s'impliquer
A ses côtés, Gaëlle Dubard, 25 ans, jeune entrepreneuse dans la restauration, maman de deux enfants, souhaite mettre l'accent sur le manque de lieux publics aménagés pour la population. L'exemple du Parc boisé, pourtant une réussite à ses débuts, alimente sa réflexion pour faire mieux que l'existant. En tout cas, elle s'inscrit en faux contre le stéréotype du jeune qui n'ira pas voter en se disant que "de toute façon rien ne changera. On a envie de voir évoluer cela".
Des jeunes sur sa liste et en position éligible
Un message reçu 5/5 par le candidat Henri Hyppolite qui est venu à leur rencontre un peu plus tard. "La jeunesse a envie de s'investir, non pas dans la politique elle-même, mais dans la vie de la cité", comprend-t-il. "Elle a des idées par rapport à la manière de mener des actions". Raison pour laquelle il qualifie les membres du collectif de "relais efficaces" vis-à-vis des politiques.
"C'est vrai qu'il y a une partie de cette jeunesse qui manifeste son mécontentement mais cette partie qui est là aujourd'hui va passer ce message là qui est de dire qu'on peut faire autrement. Il y a, c'est vrai, des difficultés mais on peut s'investir dans la vie de notre ville si tant est qu'on puisse trouver en face de nous des politiques qui nous écoutent une fois qu'ils sont au pouvoir", se met à la place des jeunes Henri Hyppolite.
Assurément, il compte bien être ce maire là. "Ils savent ma façon de travailler, de conduire des actions en faveur de la jeunesse et des quartiers", affirme-t-il.
Au-delà des intentions, le candidat du PCR rappelle que sa préfiguration de liste offre à des représentants de cette jeunesse l'occasion de "prendre leurs responsabilités". Sabrina Louise et Fabrice Payet figureront en bonne place, c'est-à-dire en position éligible, promet-il.
Des jeunes sur sa liste et en position éligible
Un message reçu 5/5 par le candidat Henri Hyppolite qui est venu à leur rencontre un peu plus tard. "La jeunesse a envie de s'investir, non pas dans la politique elle-même, mais dans la vie de la cité", comprend-t-il. "Elle a des idées par rapport à la manière de mener des actions". Raison pour laquelle il qualifie les membres du collectif de "relais efficaces" vis-à-vis des politiques.
"C'est vrai qu'il y a une partie de cette jeunesse qui manifeste son mécontentement mais cette partie qui est là aujourd'hui va passer ce message là qui est de dire qu'on peut faire autrement. Il y a, c'est vrai, des difficultés mais on peut s'investir dans la vie de notre ville si tant est qu'on puisse trouver en face de nous des politiques qui nous écoutent une fois qu'ils sont au pouvoir", se met à la place des jeunes Henri Hyppolite.
Assurément, il compte bien être ce maire là. "Ils savent ma façon de travailler, de conduire des actions en faveur de la jeunesse et des quartiers", affirme-t-il.
Au-delà des intentions, le candidat du PCR rappelle que sa préfiguration de liste offre à des représentants de cette jeunesse l'occasion de "prendre leurs responsabilités". Sabrina Louise et Fabrice Payet figureront en bonne place, c'est-à-dire en position éligible, promet-il.