
Après sa dernière conférence du vendredi 22 mai, le collectif pour le développement de la Micro-Région Sud relance le débat sur la problématique d’une grande et unique intercommunalité d’agglomération pour le Sud. Il interpelle aujourd'hui, dans une lettre écrire, Michel Fontaine, Patrick Lebreton et André Thien Ah Koon sur la nécessité d’une fusion de la CIVIS et de la CASUD.
Le collectif sollicite ces derniers pour l’accompagnement et le soutien à la conduite du rapprochement des deux EPCI (Etablissements Publics de Coopérations Intercommunales).
Cette première motivation du collectif, rappelle Krishna Damour, est justifiée par la "réalité du cadre social et économique du Sud".
"D’ici 2020, le sud accentuera sa prépondérance démographique avec 140 000 résidents supplémentaires pour contenir 37 % des réunionnais soit 350 000 habitants, ce qui représente un potentiel énorme en tant que moteur de croissance", indique le collectif.
D’autre part, la question de l’emploi est, d'après le collectif, "un problème majeur de la micro-région puisque les 49 000 chômeurs actuels, soit 48 % de la population active, qui est de 108 000 habitants, bientôt rejoints par près de 48 000 actifs supplémentaires".
Le fort taux de chômage est également évoqué : "Le sud contient le plus grand nombre de chômeurs, soit 45 % du total, et 28% de l’ensemble des minima sociaux et contient le plus faible pourcentage de jeunes diplômés, soit 37 % et 10% de moins du total de Cadres de professions intermédiaires".
Krishna Damour ajoute que "la croissance démographique engendra un besoin de 89 600 logements dans le Sud" et que "d’ici 2020, le sud hébergera 58 000 personnes âgées d’au moins 60 ans dont 16 500 dépasseraient même les 75 ans."
Le collectif met aussi en lumière "le tissu économique dynamique et la densité du secteur agricole dans la région", ainsi que "la présence des plus belles destinations touristiques de l’île notamment le Volcan et les Cirques de Cilaos".
C'est dans ce sens, que le collectif pour le développement de la Micro-Région Sud sollicite le sénateur-maire, Michel Fontaine, le député-maire Patrick Lebreton et le maire du Tampon, André Thien Ah Koon à "collaborer en vue d’une démarche citoyenne pour un développement durable de la micro-région sud".
Le collectif sollicite ces derniers pour l’accompagnement et le soutien à la conduite du rapprochement des deux EPCI (Etablissements Publics de Coopérations Intercommunales).
Cette première motivation du collectif, rappelle Krishna Damour, est justifiée par la "réalité du cadre social et économique du Sud".
"D’ici 2020, le sud accentuera sa prépondérance démographique avec 140 000 résidents supplémentaires pour contenir 37 % des réunionnais soit 350 000 habitants, ce qui représente un potentiel énorme en tant que moteur de croissance", indique le collectif.
D’autre part, la question de l’emploi est, d'après le collectif, "un problème majeur de la micro-région puisque les 49 000 chômeurs actuels, soit 48 % de la population active, qui est de 108 000 habitants, bientôt rejoints par près de 48 000 actifs supplémentaires".
Le fort taux de chômage est également évoqué : "Le sud contient le plus grand nombre de chômeurs, soit 45 % du total, et 28% de l’ensemble des minima sociaux et contient le plus faible pourcentage de jeunes diplômés, soit 37 % et 10% de moins du total de Cadres de professions intermédiaires".
Krishna Damour ajoute que "la croissance démographique engendra un besoin de 89 600 logements dans le Sud" et que "d’ici 2020, le sud hébergera 58 000 personnes âgées d’au moins 60 ans dont 16 500 dépasseraient même les 75 ans."
Le collectif met aussi en lumière "le tissu économique dynamique et la densité du secteur agricole dans la région", ainsi que "la présence des plus belles destinations touristiques de l’île notamment le Volcan et les Cirques de Cilaos".
C'est dans ce sens, que le collectif pour le développement de la Micro-Région Sud sollicite le sénateur-maire, Michel Fontaine, le député-maire Patrick Lebreton et le maire du Tampon, André Thien Ah Koon à "collaborer en vue d’une démarche citoyenne pour un développement durable de la micro-région sud".