D’après la revue médicale britannique "British Medical Journal", une étude française publiée le 15 février 2018 évoque une corrélation entre la consommation d’aliments ultras-transformés (AUT), et l’augmentation du risque de cancer. La réalisation de cette étude s’est faite sur 104 980 participants.
Les aliments ultras-transformés concernent bon nombre d’aliments, en particulier les plus sucrés comme les barres aux chocolats, les boissons gazeuses, ou encore les viennoiseries emballées. D’une manière générale les produits qui possèdent des conservateurs, préparés et transformés en industrie sont fortement concernés.
Mathilde Touvier qui a coordonné cette étude précise que pour ne pas biaiser les résultats, les variables comme l’âge, la consommation de tabac mais aussi d’alcool, le niveau d’étude, ainsi que la pratique d’une activité physique ont été prises en compte dans l'analyse résultats.
Les chercheurs précisent que si les AUT sont de moins bonne qualité nutritionnelle c’est parce qu’ils "contiennent souvent des quantités plus élevées de lipides saturés, sucres et sels ajoutés, ainsi qu’une plus faible densité en fibres, vitamines et autres micronutriments". L’augmentation du risque de cancer serait due aux aliments conservés avec du sel. Hormis la qualité alimentaire, "la transformation des aliments et en particulier leur cuisson peut produire des contaminants nouvellement formés".
Si cette étude est qualifiée "d’observation", les chercheurs de l’Inserm préviennent tout de même que "le lien de la cause à effet reste à démontrer".
Les aliments ultras-transformés concernent bon nombre d’aliments, en particulier les plus sucrés comme les barres aux chocolats, les boissons gazeuses, ou encore les viennoiseries emballées. D’une manière générale les produits qui possèdent des conservateurs, préparés et transformés en industrie sont fortement concernés.
Mathilde Touvier qui a coordonné cette étude précise que pour ne pas biaiser les résultats, les variables comme l’âge, la consommation de tabac mais aussi d’alcool, le niveau d’étude, ainsi que la pratique d’une activité physique ont été prises en compte dans l'analyse résultats.
Les chercheurs précisent que si les AUT sont de moins bonne qualité nutritionnelle c’est parce qu’ils "contiennent souvent des quantités plus élevées de lipides saturés, sucres et sels ajoutés, ainsi qu’une plus faible densité en fibres, vitamines et autres micronutriments". L’augmentation du risque de cancer serait due aux aliments conservés avec du sel. Hormis la qualité alimentaire, "la transformation des aliments et en particulier leur cuisson peut produire des contaminants nouvellement formés".
Si cette étude est qualifiée "d’observation", les chercheurs de l’Inserm préviennent tout de même que "le lien de la cause à effet reste à démontrer".