Ces dernières semaines, découvrir les mystères entourant la mort de Kennedy semblait plus simple que de connaître la date de lancement de la campagne de vaccination à La Réunion. La préfecture et l’ARS ayant gardé le secret le plus longtemps possible "pour des raisons de sécurité".
Annoncée à l’origine en même temps que la métropole, la campagne de vaccination dans l’île débutera finalement plus tard qu'en hexagone. Alors que la première patiente française à se faire vacciner recevait son injection le 27 décembre dernier, La Réunion recevait la nuit suivante le super-congélateur pour stocker les doses. Celles-ci sont arrivées par la suite dans une certaine opacité.
Un retard de traitement qui n’est pas illogique puisque le taux d’incidence dans le département est presque 10 fois inférieur à la moyenne nationale. Des régions comme le Grand Est, particulièrement touché, étaient prioritaires.
Le point commun avec le reste du pays concerne les premiers patients traités. Ce sont les EHPAD qui recevront les premiers vaccins, ainsi que les professionnels de santé de plus de 50 ans. La vaccination se généralisera au reste de la population dans les mois suivants.
Comme en métropole, le refus du vaccin reste majoritaire au sein de la population, même à l’intérieur des EHPAD.
Annoncée à l’origine en même temps que la métropole, la campagne de vaccination dans l’île débutera finalement plus tard qu'en hexagone. Alors que la première patiente française à se faire vacciner recevait son injection le 27 décembre dernier, La Réunion recevait la nuit suivante le super-congélateur pour stocker les doses. Celles-ci sont arrivées par la suite dans une certaine opacité.
Un retard de traitement qui n’est pas illogique puisque le taux d’incidence dans le département est presque 10 fois inférieur à la moyenne nationale. Des régions comme le Grand Est, particulièrement touché, étaient prioritaires.
Le point commun avec le reste du pays concerne les premiers patients traités. Ce sont les EHPAD qui recevront les premiers vaccins, ainsi que les professionnels de santé de plus de 50 ans. La vaccination se généralisera au reste de la population dans les mois suivants.
Comme en métropole, le refus du vaccin reste majoritaire au sein de la population, même à l’intérieur des EHPAD.