
photo d'illustration
Dans un courrier envoyé à tous les directeurs et gestionnaires d'établissements d'accueil de jeunes enfants, la présidente du Conseil Général, Nassimah Dindar, annonce la baisse de l'aide départementale en faveur de la petite enfance.
Rappelant que l'aide aux structures de la petite enfance constitue une "action volontariste et non obligatoire de la collectivité", Nassimah Dindar annonce que cet "effort financier considérable ne peut être maintenu dans sa forme actuelle".
L'assemblée départementale, lors de sa séance plénière du mois de novembre, a donc voté l'allocation d'une dotation globale à chaque commune en faveur de la petite enfance et de l'insertion, allocation qui sera intégrée dans le Contrat de Solidarité Départementale.
La Fédération départementale de la petite enfance 974 a rencontré hier la présidente du Conseil Général qui a exposé ces différents points. Les représentants de la fédération ont, pour leur part, insisté sur le fait que cette non-reconduite de l'aide transitoire correspond à une perte d'environ 2.000.000 d'euros sur le budget 2013.
"Cette suppression met en péril la survie de nos structure à très court terme. Dans six mois, 1.800 emplois sont directement menacés et 4.500 familles risquent de perdre leur mode de garde", ont rappelé les représentants de la fédération.
Rappelant que l'aide aux structures de la petite enfance constitue une "action volontariste et non obligatoire de la collectivité", Nassimah Dindar annonce que cet "effort financier considérable ne peut être maintenu dans sa forme actuelle".
L'assemblée départementale, lors de sa séance plénière du mois de novembre, a donc voté l'allocation d'une dotation globale à chaque commune en faveur de la petite enfance et de l'insertion, allocation qui sera intégrée dans le Contrat de Solidarité Départementale.
La Fédération départementale de la petite enfance 974 a rencontré hier la présidente du Conseil Général qui a exposé ces différents points. Les représentants de la fédération ont, pour leur part, insisté sur le fait que cette non-reconduite de l'aide transitoire correspond à une perte d'environ 2.000.000 d'euros sur le budget 2013.
"Cette suppression met en péril la survie de nos structure à très court terme. Dans six mois, 1.800 emplois sont directement menacés et 4.500 familles risquent de perdre leur mode de garde", ont rappelé les représentants de la fédération.