
Jean-Hugues Ratenon (Agir pou nout tout), Dominique Mardaye (contre les abus bancaires) et deux autres membres du Collectif sont ressortis des locaux de l’Iedom, avec un sentiment de frustration certain.
Si la direction de l’Institut d’émission des départements d’Outre-mer, a concédé l’actuelle situation des banques à La Réunion, elle n’a pu que proposer une rencontre entre le Collectif, ces institutions financières et elle-même. “Une première réunion pourrait avoir lieu dans la première quinzaine de mars”.
Il s’agira sans doute de dessiner les contours de ce qui va devenir l’Observatoire des banques “pour lutter contre les abus bancaires. Une structure de plus qui, si elle a la même efficacité que l’Observatoire des prix, aura le mérite d’amuser les responsables bancaires de la place”, sourit le Collectif.
“Nous continuerons à demander la transparence sur la fixation des tarifs pratiqués par les banques de l’île”.
“Comme l’a expliqué Dominique Mardaye, président de l’Association contre les abus bancaires, à la direction de l’Iedom, il n’y a aucune base légale qui permet que des services bancaires gratuits en métropole soient payants à La Réunion”, avance Jean-Hugues Ratenon.
Dominique Mardaye qui maîtrise aujourd’hui le dossier bancaire sur le bout des doigts, déplore cette réalité. “La Réunion a trois banques parmi les plus chères de France”.
Si la direction de l’Institut d’émission des départements d’Outre-mer, a concédé l’actuelle situation des banques à La Réunion, elle n’a pu que proposer une rencontre entre le Collectif, ces institutions financières et elle-même. “Une première réunion pourrait avoir lieu dans la première quinzaine de mars”.
Il s’agira sans doute de dessiner les contours de ce qui va devenir l’Observatoire des banques “pour lutter contre les abus bancaires. Une structure de plus qui, si elle a la même efficacité que l’Observatoire des prix, aura le mérite d’amuser les responsables bancaires de la place”, sourit le Collectif.
“Nous continuerons à demander la transparence sur la fixation des tarifs pratiqués par les banques de l’île”.
“Comme l’a expliqué Dominique Mardaye, président de l’Association contre les abus bancaires, à la direction de l’Iedom, il n’y a aucune base légale qui permet que des services bancaires gratuits en métropole soient payants à La Réunion”, avance Jean-Hugues Ratenon.
Dominique Mardaye qui maîtrise aujourd’hui le dossier bancaire sur le bout des doigts, déplore cette réalité. “La Réunion a trois banques parmi les plus chères de France”.