1. Depuis le bétonnage illégal en 2004 des Chemins privés « Pongérard et Salmacis » par la commune de la Possession dans les conditions d’opacité connues de tous maintenant, la famille Han-Ching se retrouve les pieds dans l’eau à chaque pluie importante.
La cause ? Rien n’a été fait pour canaliser les eaux qui dévalent maintenant le chemin bétonné pour se déverser chez cette famille. A chaque fois la commune a été alertée mais sans aucune réponse en retour. Le mépris total !
2. La famille Aoustin a subi le même mépris de la part du maire pendant que ce dernier était parfaitement informé depuis de nombreuses années des nuisances induites par un bidonville qui se développait en face de chez elle. Comme toujours, aucune réponse de la commune. Il a fallu que cette famille saisisse la justice et fasse part dans la presse des problèmes rencontrés avec les élus pour qu’il y ait immédiatement une opération de communication orchestrée par le DGS et notre première adjointe dans le seul but d’éteindre le feu. Des années et des années de mépris !
3. Avec les dernières pluies, le réseau d’eaux usées déborde par tous les regards, du haut du Grand Large 2 jusqu’à la MAPA. En fait, ce problème existe depuis le branchement d’autres lotissements en amont sur le réseau du Grand Large 2. Il est récurent depuis de nombreuses années déjà.
Dernièrement, la pression était si forte, qu’un tampon de regard (au niveau de la résidence Saint-Alexandre), pourtant recouvert de 15 cm d’asphalte, s’est soulevé en décollant au passage le bitume. L’eau coulait abondamment sous et sur la chaussée pour se déverser ensuite en torrent dans le caniveau. Un désastre ! Tout le réseau subit une énorme pression qui le met à mal.
Les mandats passent mais les élus ne font rien pour résoudre ces dysfonctionnements.
4. Face au mépris et aux mensonges répétés de nos élus, j’ai saisi de nouveau le tribunal pour que le talweg Mare à Coton et les parcelles communales concernées (entre Tamarin Sarda et le Grand Large) soient nettoyés et dépollués. Aussitôt l’action en justice entamée, la commune a envoyé une équipe défricher ses parcelles sans s’occuper de la dépollution. On s’est contenté de mettre les débris végétaux en plein milieu du talweg ainsi que quelques encombrants. Le 17 janvier 2011, j’ai informé le maire de la réalité des travaux et du risque qu’une partie de la pollution et des déchets verts finissent dans l’océan. Aucune réponse …
Résultat : avec les fortes pluies, les déchets verts et beaucoup d’immondices ont été emportés.
A l’incompétence et l’incurie s’ajoute le mépris, quand ce n’est pas les mensonges et les manipulations !
Pour l’ADIP : Jean Paul FOIS