La hache de guerre semble enterrée. Si un mouvement de grève porté par l’intersyndicale (FO, CFDT, SAFPTR, CGTR, UNSA) avait secoué la ville de la Possession en début d’année, les tensions semblent désormais oubliées. Ce mercredi matin, Vanessa Miranville et son premier adjoint, Gilles Hubert, ont fait le point sur les avancées faisant suite à la signature du protocole d’accord, en présence des représentants syndicaux.
"Nous avons fait un travail collégial, avec l’administration, les représentants syndicaux et les élus", se félicite Gilles Hubert, qui vante des décisions prises dans "l’écoute, le partage et le consensus" . Une année qu'il estime même à "marquer d’une pierre blanche".
Outre la revalorisation salariale et le dégel de la prime de majoration, le plan de titularisation des employés était l’un des points phares de ce protocole. "Avant ça, il n’y avait jamais eu de véritable plan. Les titularisations étaient faites au gré de la volonté de l’autorité", rappelle l’élu. La commune indique avoir désormais rempli "les engagements actés dans la feuille de route". Ce plan, longtemps réclamé, prévoit la titularisation de "13 employés au minimum cette année". Une liste de six noms est aussi constituée en cas de désistements.
"Il ne s'agit pas de faire comme Saint-Louis"
Les employés proposés à la titularisation doivent répondre à un critère d’ancienneté de 12 ans minimum. "Il y a aussi des recommandations sur lesquelles nous nous sommes entendues, comme le fait de représenter tous les services et de garantir une certaine parité", précise l’adjoint. Vanessa Miranville ajoute : "Une évaluation sera une autre étape importante. La faire entrer dans les critères de sélection est un acte fort".
Au total, CDD et contrats-aidés inclus, la municipalité comptabilise 1100 agents, dont environ 150 sont titulaires. Le coût du plan de titularisation se chiffre à 40.000 euros annuel. "Il ne s’agit pas de faire comme Saint-Louis, mais d’être raisonnable et mesuré dans ce qu’on fait", lance au passage la première magistrate. Elle rappelle en outre qu'au total la masse salariale représente 25 millions d'euros.
De leur côté, les syndicats se montrent satisfaits et disent même "merci à la municipalité". Pour eux, même si "des choses restent à faire", et qu’ils"restent attentifs et vigilants", la commune est "sur la bonne voie". "Les plus grandes histoires d’amour commencent souvent sur un malentendu", blague même, dans cette ambiance détendue, Gilles Hubert.
"Nous avons fait un travail collégial, avec l’administration, les représentants syndicaux et les élus", se félicite Gilles Hubert, qui vante des décisions prises dans "l’écoute, le partage et le consensus" . Une année qu'il estime même à "marquer d’une pierre blanche".
Outre la revalorisation salariale et le dégel de la prime de majoration, le plan de titularisation des employés était l’un des points phares de ce protocole. "Avant ça, il n’y avait jamais eu de véritable plan. Les titularisations étaient faites au gré de la volonté de l’autorité", rappelle l’élu. La commune indique avoir désormais rempli "les engagements actés dans la feuille de route". Ce plan, longtemps réclamé, prévoit la titularisation de "13 employés au minimum cette année". Une liste de six noms est aussi constituée en cas de désistements.
"Il ne s'agit pas de faire comme Saint-Louis"
Les employés proposés à la titularisation doivent répondre à un critère d’ancienneté de 12 ans minimum. "Il y a aussi des recommandations sur lesquelles nous nous sommes entendues, comme le fait de représenter tous les services et de garantir une certaine parité", précise l’adjoint. Vanessa Miranville ajoute : "Une évaluation sera une autre étape importante. La faire entrer dans les critères de sélection est un acte fort".
Au total, CDD et contrats-aidés inclus, la municipalité comptabilise 1100 agents, dont environ 150 sont titulaires. Le coût du plan de titularisation se chiffre à 40.000 euros annuel. "Il ne s’agit pas de faire comme Saint-Louis, mais d’être raisonnable et mesuré dans ce qu’on fait", lance au passage la première magistrate. Elle rappelle en outre qu'au total la masse salariale représente 25 millions d'euros.
De leur côté, les syndicats se montrent satisfaits et disent même "merci à la municipalité". Pour eux, même si "des choses restent à faire", et qu’ils"restent attentifs et vigilants", la commune est "sur la bonne voie". "Les plus grandes histoires d’amour commencent souvent sur un malentendu", blague même, dans cette ambiance détendue, Gilles Hubert.