Des centaines d’agents municipaux paralysent la vie de l’administration possessionnaise ce mardi 7 avril. Ils répondent à l’appel à la grève illimitée lancé par le SAFPTR, FO et UNSA.
Un mouvement de grève initié en guise de refus de la baisse du régime indemnitaire pour certains agents.
Les parents étaient prévenus dès la semaine dernière que les repas ne pourraient être servis dans les établissements scolaires qui dépendent de la mairie. Même configuration pour les activités périscolaires. Pour les administrés, cette grève est notamment pénalisante pour ceux qui auraient besoin de se rendre en mairie pour des démarches.
La mairie a apporté ce midi des précisions sur les effets de sa mesure. 220 agents sont ainsi concernés par la baisse des primes. Les baisses les plus prononcées seront appliquées principalement aux cadres. Cet effort financier atteindra "seulement 20% des agents", et "la situation de l’agent sera revue dès que la situation financière de la commune le permettra".
L'effort est par ailleurs dégressif. Pour certains hauts salaires, la baisse pourra atteindre plus de 500 euros lorsqu’elle est associée à une baisse de responsabilité. En bout de chaîne, cette baisse peut aller jusqu'à 20 à 30 euros sur les salaires moyens.
En réalisant des économies sur le salaire net des cadres, la mairie planifie de les redistribuer sous forme de primes, pour ceux qui n'en bénéficiaient pas. D’ailleurs, le premier vote sur ce sujet intervient ce mercredi en conseil municipal où la mesure de 2x100€ dans l'année sera ainsi votée pour les petits salaires actuellement sans primes. La mairie programme également d'augmenter le nombre de bénéficiaires de chèques déjeuner, de prendre en charge une partie de la mutuelle, de prendre en charge le trajet en transports en commun domicile-travail. La mairie mettra également au vote demain une prime de départ à la retraite. Ces dispositions avaient été signées en comité technique le 25 mars par la CGTR, le SAFPTR et la CFDT. FO était absent.
Ce mardi en début d’après midi, aucune rencontre avec une délégation de l’intersyndicale n’était calée. La mairie se dit toutefois ouverte à la discussion.
Un mouvement de grève initié en guise de refus de la baisse du régime indemnitaire pour certains agents.
Les parents étaient prévenus dès la semaine dernière que les repas ne pourraient être servis dans les établissements scolaires qui dépendent de la mairie. Même configuration pour les activités périscolaires. Pour les administrés, cette grève est notamment pénalisante pour ceux qui auraient besoin de se rendre en mairie pour des démarches.
La mairie a apporté ce midi des précisions sur les effets de sa mesure. 220 agents sont ainsi concernés par la baisse des primes. Les baisses les plus prononcées seront appliquées principalement aux cadres. Cet effort financier atteindra "seulement 20% des agents", et "la situation de l’agent sera revue dès que la situation financière de la commune le permettra".
L'effort est par ailleurs dégressif. Pour certains hauts salaires, la baisse pourra atteindre plus de 500 euros lorsqu’elle est associée à une baisse de responsabilité. En bout de chaîne, cette baisse peut aller jusqu'à 20 à 30 euros sur les salaires moyens.
En réalisant des économies sur le salaire net des cadres, la mairie planifie de les redistribuer sous forme de primes, pour ceux qui n'en bénéficiaient pas. D’ailleurs, le premier vote sur ce sujet intervient ce mercredi en conseil municipal où la mesure de 2x100€ dans l'année sera ainsi votée pour les petits salaires actuellement sans primes. La mairie programme également d'augmenter le nombre de bénéficiaires de chèques déjeuner, de prendre en charge une partie de la mutuelle, de prendre en charge le trajet en transports en commun domicile-travail. La mairie mettra également au vote demain une prime de départ à la retraite. Ces dispositions avaient été signées en comité technique le 25 mars par la CGTR, le SAFPTR et la CFDT. FO était absent.
Ce mardi en début d’après midi, aucune rencontre avec une délégation de l’intersyndicale n’était calée. La mairie se dit toutefois ouverte à la discussion.