
Ce n’est pas pour annoncer sa candidature sur la Possession que Cyrille Lebon avait convié la presse ce lundi sous le banian du Cœur de ville. Mais pour annoncer le ralliement du parti vert réunionnais (PVR), dont il est chef de file, à celle de Stéphane Randrianarivelo, investi par LREM.
"Aujourd’hui, l’intérêt général veut qu’on travaille au-delà des partis", affirme celui qui fut l’adjoint au maire de Roland Robert, mais préfère rester loin de son fils, Philippe Robert - lui aussi candidat. "Aujourd'hui, je n'ai plus les idées des communistes", justifie-t-il.
S'il a choisi Stéphane Randrianarivelo, c'est parce qu'il "partage beaucoup d’idées avec [son] programme". "Nous allons faire un grand rassemblement", annonce Cyrille Lebon, sans la présence du principal intéressé et sans pouvoir préciser combien de membres du PVR seront sur la liste. Et de citer comme points de convergence l'attachement à la "démocratie participative", à la "propreté" et à "la maîtrise de l'énergie".
"Aujourd’hui, l’intérêt général veut qu’on travaille au-delà des partis", affirme celui qui fut l’adjoint au maire de Roland Robert, mais préfère rester loin de son fils, Philippe Robert - lui aussi candidat. "Aujourd'hui, je n'ai plus les idées des communistes", justifie-t-il.
S'il a choisi Stéphane Randrianarivelo, c'est parce qu'il "partage beaucoup d’idées avec [son] programme". "Nous allons faire un grand rassemblement", annonce Cyrille Lebon, sans la présence du principal intéressé et sans pouvoir préciser combien de membres du PVR seront sur la liste. Et de citer comme points de convergence l'attachement à la "démocratie participative", à la "propreté" et à "la maîtrise de l'énergie".

Le PVR fait alliance avec LREM pour ces municipales
En veille depuis quelques années, le parti se remet en selle pour ces municipales car "déçu" du travail de la majorité sortante, dont il tacle la gestion. "La Zac Cœur de ville, c'est nous", affirme d'ailleurs Cyrille Lebon - bien qu'à l'époque le projet n'était pas financé -, reprochant au passage l'abandon du pôle loisirs de Dos d'Âne ou du skate-parc.
S'il met en avant la jeunesse de Stéphane Randrianarivelo (35 ans) comme un élément déterminant, Cyrille Lebon porte lui l'héritage de la mandature de Roland Robert. "Nous sommes une courroie de transmission", estime-t-il. "Nous les aidons à se lancer puis nous laisserons notre place. Nous ne sommes pas des drogués de la politique".
S'il met en avant la jeunesse de Stéphane Randrianarivelo (35 ans) comme un élément déterminant, Cyrille Lebon porte lui l'héritage de la mandature de Roland Robert. "Nous sommes une courroie de transmission", estime-t-il. "Nous les aidons à se lancer puis nous laisserons notre place. Nous ne sommes pas des drogués de la politique".