
Résultats définitifs (21h30)
Rien n'est joué à la Plaine des Palmistes. Le maire sortant, Jean-Luc Saint Lambert, est en tête avec 28,35% des suffrages, suivi de très près par son opposant, Marco Boyer 26,95%. Derrière suivent Johnny Payet qui réalise un très bon score avec 20,6% des voix, devant Danio Gaze 6,41%.
Rien n'est joué à la Plaine des Palmistes. Le maire sortant, Jean-Luc Saint Lambert, est en tête avec 28,35% des suffrages, suivi de très près par son opposant, Marco Boyer 26,95%. Derrière suivent Johnny Payet qui réalise un très bon score avec 20,6% des voix, devant Danio Gaze 6,41%.
Résultats partiels serrés (20h)
Le maire sortant, Jean-Luc Saint-Lambert, récolte 30% des voix sur ces résultats partiels. L'ancien maire, Marco Boyer, est également aux alentours de 30%. Et Johnny Payet s'accroche avec environ 20% des voix. Se dirige-t-on vers une triangulaire?
Le maire sortant, Jean-Luc Saint-Lambert, récolte 30% des voix sur ces résultats partiels. L'ancien maire, Marco Boyer, est également aux alentours de 30%. Et Johnny Payet s'accroche avec environ 20% des voix. Se dirige-t-on vers une triangulaire?
PRÉSENTATION (18h)
Huit candidats pour 3981 inscrits, le fauteuil de maire aujourd'hui tenu par Jean-Luc Saint-Lambert est très convoité. Et les Palmiplainois très engagés puisqu'avec 29 noms sur chaque liste, ce sont 232 colistiers qui ont mené campagne pour l'un des candidats.
Face au nombre important de candidats, le maire sortant se réjouit d'avance. Jean-Luc Saint-Lambert ne l'a pas caché pendant cette campagne, il porte l'espoir de passer dès le premier tour.
Une vision que ne partage évidemment par Marco Boyer, ancien maire de la Plaine des Palmistes et qui n'a qu'un seul rêve, récupérer son fauteuil de maire perdu en 2008. Investi par l'UMP, l'UDI et le mouvement Objectif Réunion, l'ancien secrétaire du RPR est sans conteste l'ennemi numéro un de Jean-Luc Saint-Lambert pour cette élection.
En obtenant l'investiture des principales forces de droite, Marco Boyer a fait des déçus. A commencer par Bernard Leflem qui voulait partir dans la bataille avec l'étiquette UMP… De même pour Danio Gaze au sein de l'UDI. L'ancien colistier de René-Paul Victoria se lance, lui aussi, seul dans cette élection.
Dans le rang des "Sans Etiquette", il y a également le chef d'entreprise, Roger Amany. L'homme veut proposer aux PalmiPlainois du nouveau pour une Plaine "dynamique et conviviale". Mais condamné vendredi 7 mars pour fraude fiscale, même s'il a maintenu sa candidature, sa condamnation risque de lui causer du tort.
Ces Municipales à la Plaine des Palmistes se passeront avec un candidat LPA, Johnny Payet. Connu pour avoir participé aux élections de 2008 sur la liste de Jean-Pierre Delattre, l'homme appelle, avant même le premier tour, au rassemblement des candidats contre l'ancien maire, Marco Boyer, et contre le nouveau, Jean-Luc Saint-Lambert.
A gauche, deux candidats. Jean-Yves Faustin et Amandine Ramaye. Dans le cas d'un second tour, aucun ne devrait accepter de se rallier au maire sortant.
Le premier, sans étiquette, était le 2ème adjoint de Jean-Luc Saint-Lambert. En décembre 2009, lui et deux autres adjoints au maire sont déchus de leurs fonctions accusés d'être des dissidents. La vengeance est un plat qui se mange froid, Jean-Yves Faustin attend son heure…
Dernier candidat, ou plutôt candidate, Amandine Ramaye est la seule femme à se présenter sur cette commune. Lancée par Jean-Hugues Ratenon dans le cadre de l'Association des Réunionnais Contre la Pauvreté (ARCP), la jeune femme a eu l'occasion d'accuser le maire sortant, qui en réponse, a porté plainte contre elle...
Les candidats ont fort à faire face à un Jean-Luc Saint-Lambert soutenu par son parti, le PS, renforcé par une droite divisée, et favorisé par le nombre de listes lancées dans cette bataille.
La Plaine des Palmistes, c'est :
Plus de 5.200 habitants
20 millions d'euros de budget
Candidats:
Roger Amany (Sans Etiquette), 49 ans, chef d'entreprise dans le BTP
Marco Boyer (UVRP), 69 ans, professeur à la retraite
Danio Gaze (Sans Etiquette), retraité de l'éducation nationale
Jean-Yves Faustin (Sans Etiquette), 40 ans, sous officier chez les pompiers
Bernard Leflem (DVD), 46 ans, responsable commercial
Johnny Payet (LPA), 49 ans, chef d'entreprise
Amandine Ramaye (Sans Etiquette), 28 ans, psychologue en milieu hospitalier
Jean-Luc Saint-Lambert (PS), 62 ans, enseignant à la retraite
Huit candidats pour 3981 inscrits, le fauteuil de maire aujourd'hui tenu par Jean-Luc Saint-Lambert est très convoité. Et les Palmiplainois très engagés puisqu'avec 29 noms sur chaque liste, ce sont 232 colistiers qui ont mené campagne pour l'un des candidats.
Face au nombre important de candidats, le maire sortant se réjouit d'avance. Jean-Luc Saint-Lambert ne l'a pas caché pendant cette campagne, il porte l'espoir de passer dès le premier tour.
Une vision que ne partage évidemment par Marco Boyer, ancien maire de la Plaine des Palmistes et qui n'a qu'un seul rêve, récupérer son fauteuil de maire perdu en 2008. Investi par l'UMP, l'UDI et le mouvement Objectif Réunion, l'ancien secrétaire du RPR est sans conteste l'ennemi numéro un de Jean-Luc Saint-Lambert pour cette élection.
En obtenant l'investiture des principales forces de droite, Marco Boyer a fait des déçus. A commencer par Bernard Leflem qui voulait partir dans la bataille avec l'étiquette UMP… De même pour Danio Gaze au sein de l'UDI. L'ancien colistier de René-Paul Victoria se lance, lui aussi, seul dans cette élection.
Dans le rang des "Sans Etiquette", il y a également le chef d'entreprise, Roger Amany. L'homme veut proposer aux PalmiPlainois du nouveau pour une Plaine "dynamique et conviviale". Mais condamné vendredi 7 mars pour fraude fiscale, même s'il a maintenu sa candidature, sa condamnation risque de lui causer du tort.
Ces Municipales à la Plaine des Palmistes se passeront avec un candidat LPA, Johnny Payet. Connu pour avoir participé aux élections de 2008 sur la liste de Jean-Pierre Delattre, l'homme appelle, avant même le premier tour, au rassemblement des candidats contre l'ancien maire, Marco Boyer, et contre le nouveau, Jean-Luc Saint-Lambert.
A gauche, deux candidats. Jean-Yves Faustin et Amandine Ramaye. Dans le cas d'un second tour, aucun ne devrait accepter de se rallier au maire sortant.
Le premier, sans étiquette, était le 2ème adjoint de Jean-Luc Saint-Lambert. En décembre 2009, lui et deux autres adjoints au maire sont déchus de leurs fonctions accusés d'être des dissidents. La vengeance est un plat qui se mange froid, Jean-Yves Faustin attend son heure…
Dernier candidat, ou plutôt candidate, Amandine Ramaye est la seule femme à se présenter sur cette commune. Lancée par Jean-Hugues Ratenon dans le cadre de l'Association des Réunionnais Contre la Pauvreté (ARCP), la jeune femme a eu l'occasion d'accuser le maire sortant, qui en réponse, a porté plainte contre elle...
Les candidats ont fort à faire face à un Jean-Luc Saint-Lambert soutenu par son parti, le PS, renforcé par une droite divisée, et favorisé par le nombre de listes lancées dans cette bataille.
La Plaine des Palmistes, c'est :
Plus de 5.200 habitants
20 millions d'euros de budget
Candidats:
Roger Amany (Sans Etiquette), 49 ans, chef d'entreprise dans le BTP
Marco Boyer (UVRP), 69 ans, professeur à la retraite
Danio Gaze (Sans Etiquette), retraité de l'éducation nationale
Jean-Yves Faustin (Sans Etiquette), 40 ans, sous officier chez les pompiers
Bernard Leflem (DVD), 46 ans, responsable commercial
Johnny Payet (LPA), 49 ans, chef d'entreprise
Amandine Ramaye (Sans Etiquette), 28 ans, psychologue en milieu hospitalier
Jean-Luc Saint-Lambert (PS), 62 ans, enseignant à la retraite