Un nouveau parti politique est né à la Réunion, nous annonce-t-on ce matin dans un communiqué. Derrière la Nouvelle Classe Politique Réunionnaise (NCPR) se cachent "huit jeunes hommes et femmes de moins de 40 ans et de tous horizons politiques qui occupent, ou qui ont occupé, des responsabilités au sein des divers partis de l’île".
Selon le NCPR, "la classe politique locale doit être renouvelée", c’est pourquoi il a décidé de "mettre toute son énergie et les compétences de ses adhérents au service de la jeunesse réunionnaise". Contacté, l’un des membres explique que les initiateurs du parti préfèrent rester anonymes pour le moment. Ils déplorent que "les mouvements lancés ces derniers temps ne misent que sur la communication" et préfèrent "privilégier le fond pour l’intérêt général": "Nous voulons avant tout être force de propositions".
Et des propositions, le NCPR en a déjà émis plusieurs, visibles sur sa page Facebook : instaurer un "Conseil de jeunes" doté d’une enveloppe financière annuelle dans tous les quartiers de chaque ville, rendre le Passeport Mobilité accessible à tous les étudiants sans conditions de ressources, obtenir la garantie pour les jeunes travailleurs de décrocher un emploi à l’issue d’un contrat d’avenir, ou encore traiter des dangers d’autres drogues que le zamal dans les campagnes de sensibilisation…
Au cours de notre échange téléphonique, l’un des fondateurs ajoute : "Le NCPR regroupe des personnalités de gauche, de droite, du Centre,… Il faut être capable de dépasser les clivages politiques". Quant aux alliances bipartites annoncées récemment en vue des élections départementales, il conclut : "Nous y sommes favorables, bien sûr, mais le discours et les idées des candidats doivent rester cohérents. On ne doit pas le faire uniquement pour briguer un mandat".
Selon le NCPR, "la classe politique locale doit être renouvelée", c’est pourquoi il a décidé de "mettre toute son énergie et les compétences de ses adhérents au service de la jeunesse réunionnaise". Contacté, l’un des membres explique que les initiateurs du parti préfèrent rester anonymes pour le moment. Ils déplorent que "les mouvements lancés ces derniers temps ne misent que sur la communication" et préfèrent "privilégier le fond pour l’intérêt général": "Nous voulons avant tout être force de propositions".
Et des propositions, le NCPR en a déjà émis plusieurs, visibles sur sa page Facebook : instaurer un "Conseil de jeunes" doté d’une enveloppe financière annuelle dans tous les quartiers de chaque ville, rendre le Passeport Mobilité accessible à tous les étudiants sans conditions de ressources, obtenir la garantie pour les jeunes travailleurs de décrocher un emploi à l’issue d’un contrat d’avenir, ou encore traiter des dangers d’autres drogues que le zamal dans les campagnes de sensibilisation…
Au cours de notre échange téléphonique, l’un des fondateurs ajoute : "Le NCPR regroupe des personnalités de gauche, de droite, du Centre,… Il faut être capable de dépasser les clivages politiques". Quant aux alliances bipartites annoncées récemment en vue des élections départementales, il conclut : "Nous y sommes favorables, bien sûr, mais le discours et les idées des candidats doivent rester cohérents. On ne doit pas le faire uniquement pour briguer un mandat".