
Sur la grève actuelle :
Le préavis de grève du 19 juillet ayant été suspendu pour respecter les restrictions préfectorales, cette suspension faisait suite aux réponses du président de La Créole qui donnait tout pouvoir au Directeur pour répondre aux revendications syndicales.
Un nouvel évènement est venu interrompre cette suspension à savoir la mise à pied à titre conservatoire avec effet immédiat sans ménagement du Directeur de La Créole qui est aussi salarié de La Créole. Nos revendications exposées le 30 juillet dernier en réunion de négociation faisaient état de dégradation des conditions de travail, notamment des risques psychosociaux au sein de La Créole, pour lesquels le CSE avait initié une expertise RPS en parallèle d’une enquête de l’inspection du travail.
La majorité des salariés a été choquée par cette manière de faire lamentable et humainement indigne de représentants de la population. L’état psychologique des salariés était tel que la reprise de la grève était inévitable, le rapport d’audit présenté en conseil communautaire du TCO ne préconisant nullement le licenciement du directeur de La Créole, contrairement à ce qui est avancé.
Et à cela s’est ajoutée une délibération du TCO sur les préconisations de l’audit de COGITE SAS, qui était anciennement dirigé par un ancien haut cadre de la multinationale VEOLIA EAU, d’où le nouveau préavis de grève déposé le 31 août 2021 pour démarrer lundi prochain 6 septembre et qui fait suite à la lecture de cet audit et de la délibération N°1.
Elle fait craindre aux salariés de La Créole une dissolution future de la régie La Créole dans un avenir proche, d’autant plus que des consultations sont en cours sur les marchés publics Assainissement sur LE PORT/LA POSSESSION et Eau sur LE PORT, qui continueront ou pas en délégation de service public et qui seront ou pas attribués fin d'année 2021, et dont le mode de gestion en régie a été écarté pour les cinq prochaines années. Cette éventuelle dissolution a été abordée dans les discussions au TCO, le projet de délibération n°2021-077-CC-1 en fait par ailleurs état, mais elle a été écartée par peur d’un risque de difficultés d’un point de vue social et mais aussi organisationnel (comme un mouvement social qui aurait un impact dans la distribution de l’eau potable aux abonnés, ou le manque de temps pour lancer une DSP en lieu et place de la régie La Créole).
On pourrait donc s’attendre au retour d’une délégation de service public à l’horizon 4/5 ans à la fin des DSP sur le territoire du TCO. Les prochaines DSP sur LE PORT/LA POSSESSION nous aiguillerons peut-être.
Il faut aussi rappeler que la SEMOP de LA POSSESSION présidée par Monsieur Gilles HUBERT (par ailleurs président délégué de l’office de l’eau de la Réunion) est détenue majoritairement (51%) par EAU DE LA POSSESSION qui n'est autre qu'une filiale de Runéo Réunion, elle-même détenue paraît-il à 100% par la multinationale VEOLIA EAU.
Le préavis de grève du 19 juillet ayant été suspendu pour respecter les restrictions préfectorales, cette suspension faisait suite aux réponses du président de La Créole qui donnait tout pouvoir au Directeur pour répondre aux revendications syndicales.
Un nouvel évènement est venu interrompre cette suspension à savoir la mise à pied à titre conservatoire avec effet immédiat sans ménagement du Directeur de La Créole qui est aussi salarié de La Créole. Nos revendications exposées le 30 juillet dernier en réunion de négociation faisaient état de dégradation des conditions de travail, notamment des risques psychosociaux au sein de La Créole, pour lesquels le CSE avait initié une expertise RPS en parallèle d’une enquête de l’inspection du travail.
La majorité des salariés a été choquée par cette manière de faire lamentable et humainement indigne de représentants de la population. L’état psychologique des salariés était tel que la reprise de la grève était inévitable, le rapport d’audit présenté en conseil communautaire du TCO ne préconisant nullement le licenciement du directeur de La Créole, contrairement à ce qui est avancé.
Et à cela s’est ajoutée une délibération du TCO sur les préconisations de l’audit de COGITE SAS, qui était anciennement dirigé par un ancien haut cadre de la multinationale VEOLIA EAU, d’où le nouveau préavis de grève déposé le 31 août 2021 pour démarrer lundi prochain 6 septembre et qui fait suite à la lecture de cet audit et de la délibération N°1.
Elle fait craindre aux salariés de La Créole une dissolution future de la régie La Créole dans un avenir proche, d’autant plus que des consultations sont en cours sur les marchés publics Assainissement sur LE PORT/LA POSSESSION et Eau sur LE PORT, qui continueront ou pas en délégation de service public et qui seront ou pas attribués fin d'année 2021, et dont le mode de gestion en régie a été écarté pour les cinq prochaines années. Cette éventuelle dissolution a été abordée dans les discussions au TCO, le projet de délibération n°2021-077-CC-1 en fait par ailleurs état, mais elle a été écartée par peur d’un risque de difficultés d’un point de vue social et mais aussi organisationnel (comme un mouvement social qui aurait un impact dans la distribution de l’eau potable aux abonnés, ou le manque de temps pour lancer une DSP en lieu et place de la régie La Créole).
On pourrait donc s’attendre au retour d’une délégation de service public à l’horizon 4/5 ans à la fin des DSP sur le territoire du TCO. Les prochaines DSP sur LE PORT/LA POSSESSION nous aiguillerons peut-être.
Il faut aussi rappeler que la SEMOP de LA POSSESSION présidée par Monsieur Gilles HUBERT (par ailleurs président délégué de l’office de l’eau de la Réunion) est détenue majoritairement (51%) par EAU DE LA POSSESSION qui n'est autre qu'une filiale de Runéo Réunion, elle-même détenue paraît-il à 100% par la multinationale VEOLIA EAU.
Suite cet audit, certaines vérités doivent être dites. Le déficit de La Créole si tenter qu’on puisse le prouver, et si c’est avéré, serait principalement dû à l’absence de reversement des 27 millions d’euros d’excédents d’investissement issues l’ancienne régie communale, pourtant obligatoire du fait des statuts de la régie communautaire adoptés fin 2019. D’après l’audit c’est un point bloquant entre La Créole et la commune de Saint Paul.
Les 19 millions d’euros d’impayés sont en partie couverts par des provisions d’un montant environ de 15 millions d’euros, l’audit de COGITE SAS le confirme, et n'ont en aucun cas atteint les délais de prescription contrairement à ce qui est avancé, son recouvrement se poursuit au sein de La Créole pour le bénéfice de la commune de Saint-Paul faisant suite à la liquidation de l’ancienne régie communale, et par les services de trésorerie municipale de Saint Paul.
Lors du dernier conseil communautaire du TCO du 30 août 2021, l'audit présenté aux élus communautaires fait abstraction de certains éléments budgétaires qui sont en possession de la commune de Saint Paul. Il ne fait aucunement référence aux recettes exceptionnelles au profit de la Commune de Saint-Paul qui proviennent de la Compagnie Réunionnaise des Eaux La Créole dont :
Le montant total avancé s’élèverait à plus de 4,5 Millions d’euros (un beau petit bas de laine) auquel se rajoute les excédents d’investissement de 27 millions d’euros.
En ne reversant pas cette dotation, la commune de Saint Paul s’enrichie sans cause et contribue au supposé déficit de la Régie communautaire La Créole.
Entendre dire aussi que les comptes de La Créole sont dans le rouge et que pour cela la remise à plat des astreintes et en plus du non-paiement des heures supplémentaires et la révision de la prime d’intéressement (à moins d’une révision à la hausse), c’est vraiment prendre les salariés pour des cons. En tous cas les salariés ne serviront pas de variable d’ajustement budgétaire.
Sans compter que la mandature souhaite aussi s’attaquer aux acquis sociaux et en particulier nos congés annuels.
Quant à la mise à pied à titre conservatoire avec effet immédiat sans ménagement du Directeur de La Créole qui est aussi salarié de La Créole, à qui le TCO reprocherait entre autres de ne pas avoir assurer 100% des investissements prévues, COGITE SAS aurait pu nous proposer un état comparatif de ce qui a été réalisé en termes d'investissement dans le même domaine par le TCO dans ses autres communes membres depuis le 1er janvier 2020, date du transfert des compétences Eau et Assainissement en son sein.
Concernant la masse salariale et les embauches, les membres CSE sont fiers d'avoir pu valider le recrutement de jeunes saint-paulois et saint-pauloises qui sont aussi avec leurs parents des électeurs saint-paulois, départementaux et régionaux, que certains grands électeurs ont tendance à oublier.
La masse salariale tant décriée correspond à 37% du budget de fonctionnement de La Créole, on ne peut pas en dire autant dans certaines autres collectivités, notamment membres du TCO.
Enfin, pour répondre au président de La Créole sur les revendications du préavis du 19 juillet suspendu et repris, qui répond en parallèle par voie de presse :
« Si la réponse est satisfaisante pour vous cher Monsieur, elle ne l’est pas pour la délégation syndicale, qui vous a rappelé votre entière responsabilité dans le dernier évènement du mardi 31 août. Vous avez contribué à faire évoluer les risques psychosociaux au sein de la régie, c’est ce qui a été à l’origine de la reprise du mouvement de grève. »
Nous restons toujours dans l’attente de vos propositions concrètes en ce sens, comme de votre engagement d’amélioration des conditions de travail des salariés, comme inscrit dans votre publication sur les réseaux sociaux en date du 5 mars 2021.
Les 19 millions d’euros d’impayés sont en partie couverts par des provisions d’un montant environ de 15 millions d’euros, l’audit de COGITE SAS le confirme, et n'ont en aucun cas atteint les délais de prescription contrairement à ce qui est avancé, son recouvrement se poursuit au sein de La Créole pour le bénéfice de la commune de Saint-Paul faisant suite à la liquidation de l’ancienne régie communale, et par les services de trésorerie municipale de Saint Paul.
Lors du dernier conseil communautaire du TCO du 30 août 2021, l'audit présenté aux élus communautaires fait abstraction de certains éléments budgétaires qui sont en possession de la commune de Saint Paul. Il ne fait aucunement référence aux recettes exceptionnelles au profit de la Commune de Saint-Paul qui proviennent de la Compagnie Réunionnaise des Eaux La Créole dont :
- Le remboursement la TICFE (EDF)
- Le remboursement des fonds de compensation (FCTVA)
- Le solde du Compte DFT (régie de recettes) de la Compagnie Réunionnaise des Eaux
- Le solde du Compte 515 (compte courant) de la Compagnie Réunionnaise des Eaux
- Le remboursement de la TVA
Le montant total avancé s’élèverait à plus de 4,5 Millions d’euros (un beau petit bas de laine) auquel se rajoute les excédents d’investissement de 27 millions d’euros.
En ne reversant pas cette dotation, la commune de Saint Paul s’enrichie sans cause et contribue au supposé déficit de la Régie communautaire La Créole.
Entendre dire aussi que les comptes de La Créole sont dans le rouge et que pour cela la remise à plat des astreintes et en plus du non-paiement des heures supplémentaires et la révision de la prime d’intéressement (à moins d’une révision à la hausse), c’est vraiment prendre les salariés pour des cons. En tous cas les salariés ne serviront pas de variable d’ajustement budgétaire.
Sans compter que la mandature souhaite aussi s’attaquer aux acquis sociaux et en particulier nos congés annuels.
Quant à la mise à pied à titre conservatoire avec effet immédiat sans ménagement du Directeur de La Créole qui est aussi salarié de La Créole, à qui le TCO reprocherait entre autres de ne pas avoir assurer 100% des investissements prévues, COGITE SAS aurait pu nous proposer un état comparatif de ce qui a été réalisé en termes d'investissement dans le même domaine par le TCO dans ses autres communes membres depuis le 1er janvier 2020, date du transfert des compétences Eau et Assainissement en son sein.
Concernant la masse salariale et les embauches, les membres CSE sont fiers d'avoir pu valider le recrutement de jeunes saint-paulois et saint-pauloises qui sont aussi avec leurs parents des électeurs saint-paulois, départementaux et régionaux, que certains grands électeurs ont tendance à oublier.
La masse salariale tant décriée correspond à 37% du budget de fonctionnement de La Créole, on ne peut pas en dire autant dans certaines autres collectivités, notamment membres du TCO.
Enfin, pour répondre au président de La Créole sur les revendications du préavis du 19 juillet suspendu et repris, qui répond en parallèle par voie de presse :
« Si la réponse est satisfaisante pour vous cher Monsieur, elle ne l’est pas pour la délégation syndicale, qui vous a rappelé votre entière responsabilité dans le dernier évènement du mardi 31 août. Vous avez contribué à faire évoluer les risques psychosociaux au sein de la régie, c’est ce qui a été à l’origine de la reprise du mouvement de grève. »
Nous restons toujours dans l’attente de vos propositions concrètes en ce sens, comme de votre engagement d’amélioration des conditions de travail des salariés, comme inscrit dans votre publication sur les réseaux sociaux en date du 5 mars 2021.
Sur le préavis de grève qui doit débuter lundi 6 septembre prochain
Pour répondre aux propositions du président de LA CREOLE concernant ce préavis de grève:
« Vous avez confirmé les points suivants :
1) L'avenir de La Créole n'est pas menacé. La suppression de la régie n'a jamais été envisagée. La régie va continuer d'exister.
N’étant ni membre du TCO et encore son Président, nous considérons que vous n’avez aucun pouvoir en ce sens comme nous vous l’avons rappelé ce matin 4 septembre lors de nos brefs échanges.
Nous sommes toujours dans l’attente d’un engagement en ce sens du Président du TCO, un courrier lui étant destiné est toujours dans l’attente de signature, c’est un élément prépondérant à la levée de préavis du 19 juillet 2021.
2) La pérennité des contrats de travail des salariés n'est pas menacée. Aucun plan de licenciements ne sera mis en œuvre. Il n'y a, par ailleurs, aucune remise en cause du principe du dispositif d'astreinte, du principe des heures supplémentaires, du principe du remisage des véhicules de service et de fonction, du principe de la prime d'intéressement. »
Nous tenons juste à vous rappeler certains points que vous avez éludés.
Préconisation 11 : la mise en cohérence de l’indemnisation des périodes d’astreinte ne sous-entend t-elle pas une réduction annuelle de cette indemnité ? En ce qui concerne le suivi des interventions, il existe déjà un dispositif qui a peut-être besoin d’une amélioration. Quant à la rédaction de procédures rigoureuses (préconisation 7) elle s’apparente à du flicage.
Seule la non-remise en cause du principe du remisage des véhicules de service et de fonction nous satisfait.
Sur la remise en cause du principe de la prime d'intéressement :
« Revoir la formule de la prime d’intéressement sur le recouvrement » (préconisation 14), signifie à notre sens une baisse du pouvoir d’achat, qui n’est pas acceptable.
Un nouveau point que nous souhaitions aborder vendredi 3 septembre, la remise en cause de nos jours de congés.
En effet, en page 17/70 du rapport il est clair que COGITE SAS vous propose de nous sucrer 6 jours de congés ouvrés, à moins que vous nous en proposiez 6 jours ouvrables de plus pour qu’on puisse garder nos 36 jours de congés ouvrés. Cela relèverait du miracle, vu les restrictions qui ont été validées par la délibération N°1 du 30 août 2021.
Le Conseil Communautaire a en outre validé les propositions de l’audit et non ses préconisations.
Par ailleurs, la délégation syndicale est aussi en droit de s’interroger sur un point de la délibération N°1 qui concerne « le cadrage des charges de fonctionnement, particulièrement celles liées au personnel ». Ce n’est ni plus ni moins une réduction de la masse salariale et des effectifs de La Créole qui nous attend, donc de licenciements en vue. Nous serons extrêmement vigilants. Votre engagement en ce sens est en totale contradiction.
La délégation syndicale reste dans l’attente de vos explications ou celles du Président du TCO, par le même canal, à savoir par presse interposée, ou réseaux sociaux à votre convenance.
Nous déciderons de la levée des deux préavis de grève en fonction de vos réponses.
Nous terminerons en vous disant que certaines préconisations de l’audit ont attiré une attention particulière des salariés grévistes, qui les partagent.
Pour la CGTR EAUX
LE DELEGUE SYNDICAL
Pour répondre aux propositions du président de LA CREOLE concernant ce préavis de grève:
« Vous avez confirmé les points suivants :
1) L'avenir de La Créole n'est pas menacé. La suppression de la régie n'a jamais été envisagée. La régie va continuer d'exister.
N’étant ni membre du TCO et encore son Président, nous considérons que vous n’avez aucun pouvoir en ce sens comme nous vous l’avons rappelé ce matin 4 septembre lors de nos brefs échanges.
Nous sommes toujours dans l’attente d’un engagement en ce sens du Président du TCO, un courrier lui étant destiné est toujours dans l’attente de signature, c’est un élément prépondérant à la levée de préavis du 19 juillet 2021.
2) La pérennité des contrats de travail des salariés n'est pas menacée. Aucun plan de licenciements ne sera mis en œuvre. Il n'y a, par ailleurs, aucune remise en cause du principe du dispositif d'astreinte, du principe des heures supplémentaires, du principe du remisage des véhicules de service et de fonction, du principe de la prime d'intéressement. »
Nous tenons juste à vous rappeler certains points que vous avez éludés.
Préconisation 11 : la mise en cohérence de l’indemnisation des périodes d’astreinte ne sous-entend t-elle pas une réduction annuelle de cette indemnité ? En ce qui concerne le suivi des interventions, il existe déjà un dispositif qui a peut-être besoin d’une amélioration. Quant à la rédaction de procédures rigoureuses (préconisation 7) elle s’apparente à du flicage.
Seule la non-remise en cause du principe du remisage des véhicules de service et de fonction nous satisfait.
Sur la remise en cause du principe de la prime d'intéressement :
« Revoir la formule de la prime d’intéressement sur le recouvrement » (préconisation 14), signifie à notre sens une baisse du pouvoir d’achat, qui n’est pas acceptable.
Un nouveau point que nous souhaitions aborder vendredi 3 septembre, la remise en cause de nos jours de congés.
En effet, en page 17/70 du rapport il est clair que COGITE SAS vous propose de nous sucrer 6 jours de congés ouvrés, à moins que vous nous en proposiez 6 jours ouvrables de plus pour qu’on puisse garder nos 36 jours de congés ouvrés. Cela relèverait du miracle, vu les restrictions qui ont été validées par la délibération N°1 du 30 août 2021.
Le Conseil Communautaire a en outre validé les propositions de l’audit et non ses préconisations.
Par ailleurs, la délégation syndicale est aussi en droit de s’interroger sur un point de la délibération N°1 qui concerne « le cadrage des charges de fonctionnement, particulièrement celles liées au personnel ». Ce n’est ni plus ni moins une réduction de la masse salariale et des effectifs de La Créole qui nous attend, donc de licenciements en vue. Nous serons extrêmement vigilants. Votre engagement en ce sens est en totale contradiction.
La délégation syndicale reste dans l’attente de vos explications ou celles du Président du TCO, par le même canal, à savoir par presse interposée, ou réseaux sociaux à votre convenance.
Nous déciderons de la levée des deux préavis de grève en fonction de vos réponses.
Nous terminerons en vous disant que certaines préconisations de l’audit ont attiré une attention particulière des salariés grévistes, qui les partagent.
Pour la CGTR EAUX
LE DELEGUE SYNDICAL