
La Corse aussi veut son bouclier qualité-prix. Comme cela existe à La Réunion, les grandes surfaces de l'île pourraient proposer un panier type de 130 produits pour faire baisser les prix de l’alimentaire dans l'île de Beauté.
Le président du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, a fait cette proposition suite au travail mis en place dans le cadre de la conférence sociale. Mieux, "un accord en ce sens sera proposé à tous les acteurs de la grande distribution, dont plusieurs ont d’ores et déjà confirmé leur adhésion", signale Gilles Simeoni.
"Supprimer les éventuels surprofits"
"Nous sommes arrivés à une avancée très significative. L’idée d’un bouclier prix-produit existe déjà par exemple à la Réunion", a-t-il déclaré dans des propos relayés par France Bleu, avant d'expliquer : "L’idée est donc d’avoir 120 ou 130 références, et de garantir qu’elles seront dans la fourchette la plus basse de la moyenne française", afin de permettre "à tous les consommateurs d’accéder à des produits de première nécessité, de qualité, dans des conditions tarifaires très avantageuses".
Outre cette mesure très attendue sur le panier d'une centaine de produits, un autre atelier "Prix du carburant" envisage de "rédiger 1 proposition commune autour de 2 axes pour lutter contre la cherté en Corse". Ils concernent la "suppression des éventuels surprofits et l'aménagement de la fiscalité (TVA, TGAP) pour prendre en compte les contraintes issues de l’insularité", affirme Gilles Simeoni. Ce texte sera examiné lors de la prochaine session de l’Assemblée de Corse, les 21 et 22 février prochains.
Le président du conseil exécutif de Corse, Gilles Simeoni, a fait cette proposition suite au travail mis en place dans le cadre de la conférence sociale. Mieux, "un accord en ce sens sera proposé à tous les acteurs de la grande distribution, dont plusieurs ont d’ores et déjà confirmé leur adhésion", signale Gilles Simeoni.
"Supprimer les éventuels surprofits"
"Nous sommes arrivés à une avancée très significative. L’idée d’un bouclier prix-produit existe déjà par exemple à la Réunion", a-t-il déclaré dans des propos relayés par France Bleu, avant d'expliquer : "L’idée est donc d’avoir 120 ou 130 références, et de garantir qu’elles seront dans la fourchette la plus basse de la moyenne française", afin de permettre "à tous les consommateurs d’accéder à des produits de première nécessité, de qualité, dans des conditions tarifaires très avantageuses".
Outre cette mesure très attendue sur le panier d'une centaine de produits, un autre atelier "Prix du carburant" envisage de "rédiger 1 proposition commune autour de 2 axes pour lutter contre la cherté en Corse". Ils concernent la "suppression des éventuels surprofits et l'aménagement de la fiscalité (TVA, TGAP) pour prendre en compte les contraintes issues de l’insularité", affirme Gilles Simeoni. Ce texte sera examiné lors de la prochaine session de l’Assemblée de Corse, les 21 et 22 février prochains.