"La nouvelle gouvernance mise en place avec la présidence de monsieur Giraud Payet ne fonctionne pas, et pire, elle est en train de mettre en péril un outil indispensable pour le développement du secteur et la consolidation des entreprises artisanales", pouvait-t-on lire ce matin sur l’un des tracts distribué devant la Chambre des Métiers.
Des évènements récents ont conduit le personnel à tirer la sonnette d’alarme et parmi les revendications figurent principalement "la discrimination du personnel, la déstabilisation de l’encadrement, le soi disant plan d’austérité financier" et la plus importante "la préparation en missouk d’une nouvelle organisation administrative de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA)".
Sur ce point, les grévistes ont demandé son retrait pur et simple à l’ordre du jour car "un organigramme est sorti, avec des personnes propulsées à des postes surdimensionnés à leur compétence et des gens qui sont évincés. On se dit quel est ce règlement de compte? D’autant que ce point n’a pas été décidé par le bureau mais rajouté. Ce débat n’a rien à faire sur l’ordre du jour d’une assemblée générale", s’exclame Jacques Maunier, directeur du développement économique à la chambre des métiers.
"Depuis qu’il y a une nouvelle équipe politique, il y a de la casse qui est organisée dans les services pour déstabiliser l’encadrement afin de procurer à un certain nombre d’élus de l’espace pour qu’ils fassent ce qu’ils veulent", ajoute le directeur du développement économique.
L’assemblée générale de la CMA a pris des allures de terrain de bataille. Reproches, colères, cris… Giraud Payet le président est parfois hué quand le secrétaire général, Jean-Marie Trincès, est applaudi.
Finalement, le président avec l’accord des élus de la Chambre a décidé de retirer de l’ordre du jour la question de l’organigramme et de traiter de la question sous les quinze jours.
L’assemblée générale s’est tenue jusqu’à 11h45. Les grévistes espèrent désormais éclaircir les autres points divergents.
Des évènements récents ont conduit le personnel à tirer la sonnette d’alarme et parmi les revendications figurent principalement "la discrimination du personnel, la déstabilisation de l’encadrement, le soi disant plan d’austérité financier" et la plus importante "la préparation en missouk d’une nouvelle organisation administrative de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat (CMA)".
Sur ce point, les grévistes ont demandé son retrait pur et simple à l’ordre du jour car "un organigramme est sorti, avec des personnes propulsées à des postes surdimensionnés à leur compétence et des gens qui sont évincés. On se dit quel est ce règlement de compte? D’autant que ce point n’a pas été décidé par le bureau mais rajouté. Ce débat n’a rien à faire sur l’ordre du jour d’une assemblée générale", s’exclame Jacques Maunier, directeur du développement économique à la chambre des métiers.
"Depuis qu’il y a une nouvelle équipe politique, il y a de la casse qui est organisée dans les services pour déstabiliser l’encadrement afin de procurer à un certain nombre d’élus de l’espace pour qu’ils fassent ce qu’ils veulent", ajoute le directeur du développement économique.
L’assemblée générale de la CMA a pris des allures de terrain de bataille. Reproches, colères, cris… Giraud Payet le président est parfois hué quand le secrétaire général, Jean-Marie Trincès, est applaudi.
Finalement, le président avec l’accord des élus de la Chambre a décidé de retirer de l’ordre du jour la question de l’organigramme et de traiter de la question sous les quinze jours.
L’assemblée générale s’est tenue jusqu’à 11h45. Les grévistes espèrent désormais éclaircir les autres points divergents.