
La CGPME est inquiète concernant l’impact de la crise actuelle sur les entreprises réunionnaises qui est, selon elle, "sans précédent".
Le syndicat patronal appelle donc tous les acteurs de la société réunionnaise à "prendre conscience de la diversité des entreprises réunionnaises, à préserver le tissu des petites entreprises (87% des entreprises ont moins de 10 salariés) menacées en premier lieu dans leur existence par les nombreuses faillites en cours".
En effet, "celles-ci doivent faire face à des problèmes conjoncturels mais surtout à une faiblesse de leurs fonds propres aggravée par la chute de leur chiffre d’affaire, des retards de paiement de leurs clients eux-mêmes en difficultés… et dans le même temps à un raccourcissement des délais de règlement fournisseurs".
Par ailleurs :
• 32 % des artisans perçoivent moins que le SMIC et peuvent prétendre au RSA.
• 62 % des artisans ont une rémunération inférieure à 1.5 SMIC
Pour la CGPME, "leur imposer une augmentation salariale reviendrait tout simplement à leur faire mettre la clé sous la porte pour nombre d’entre elles". Il y a donc urgence "en premier lieu à préserver les commerces et les entreprises de nos quartiers, de nos villes et de notre région".
"N’ajoutons pas la pression sur des entrepreneurs qui n’ont plus de lisibilité", conclut la CGPME. "Ne rajoutons pas la crise à la crise. De nombreuses TPE sont désormais menacées".
Le syndicat patronal appelle donc tous les acteurs de la société réunionnaise à "prendre conscience de la diversité des entreprises réunionnaises, à préserver le tissu des petites entreprises (87% des entreprises ont moins de 10 salariés) menacées en premier lieu dans leur existence par les nombreuses faillites en cours".
En effet, "celles-ci doivent faire face à des problèmes conjoncturels mais surtout à une faiblesse de leurs fonds propres aggravée par la chute de leur chiffre d’affaire, des retards de paiement de leurs clients eux-mêmes en difficultés… et dans le même temps à un raccourcissement des délais de règlement fournisseurs".
Par ailleurs :
• 32 % des artisans perçoivent moins que le SMIC et peuvent prétendre au RSA.
• 62 % des artisans ont une rémunération inférieure à 1.5 SMIC
Pour la CGPME, "leur imposer une augmentation salariale reviendrait tout simplement à leur faire mettre la clé sous la porte pour nombre d’entre elles". Il y a donc urgence "en premier lieu à préserver les commerces et les entreprises de nos quartiers, de nos villes et de notre région".
"N’ajoutons pas la pression sur des entrepreneurs qui n’ont plus de lisibilité", conclut la CGPME. "Ne rajoutons pas la crise à la crise. De nombreuses TPE sont désormais menacées".