
La CGPME et ses partenaires sont-ils prêts à aller au conflit pour ne pas avoir à appliquer l’extension de l’accord salarial du Cospar, c’est-à-dire augmenter les salaires de 50 €.
Lors de la première conférence de presse, il y a une quinzaine de jours, Pascal Thiaw-Kine, président de la Confédération général des petites et moyennes entreprises de la Réunion, déclarait vouloir épuiser toutes les voies de recours légales. “Nous verrons après...”
”Après”, c’est maintenant puisque l’extension de l’accord Médef – Cospar paru au Journal officiel, est entrée en vigueur cette semaine, et avec effet rétroactif. L’accord est applicable à partir du 1er mai 2009.
La CGPME, les artisans, les TPE et les PME n’ont cessé de dénoncer ce document depuis sa signature le 25 mai 2009. “Nous n’avons pas les moyens d’augmenter les salaires”, n’ont cessé de clamer depuis ces chefs d’entreprise.
Depuis ce matin, réunis dans un hôtel saint-paulois, ils réfléchissent aux moyens et méthodes pour rejeter cette extension. Ils sont d’autant plus remontés qu’en début de semaine, la préfecture avait dit leur laisser un délai pour faire des propositions. Ce qu’ils n’ont même pas eu le temps de faire…
Lors de la première conférence de presse, il y a une quinzaine de jours, Pascal Thiaw-Kine, président de la Confédération général des petites et moyennes entreprises de la Réunion, déclarait vouloir épuiser toutes les voies de recours légales. “Nous verrons après...”
”Après”, c’est maintenant puisque l’extension de l’accord Médef – Cospar paru au Journal officiel, est entrée en vigueur cette semaine, et avec effet rétroactif. L’accord est applicable à partir du 1er mai 2009.
La CGPME, les artisans, les TPE et les PME n’ont cessé de dénoncer ce document depuis sa signature le 25 mai 2009. “Nous n’avons pas les moyens d’augmenter les salaires”, n’ont cessé de clamer depuis ces chefs d’entreprise.
Depuis ce matin, réunis dans un hôtel saint-paulois, ils réfléchissent aux moyens et méthodes pour rejeter cette extension. Ils sont d’autant plus remontés qu’en début de semaine, la préfecture avait dit leur laisser un délai pour faire des propositions. Ce qu’ils n’ont même pas eu le temps de faire…