Le partenariat noué entre la mairie et la chambre consulaire verra cette dernière épauler la commune dans le développement de son offre commerciale avec l'aménagement de zones d'activités comme celle de Beauvallon, le réaménagement et le développement de la zone d'activités de Beaulieu, le futur aménagement de la zone de Le Conardel, sans oublier la ZAC Isis.
La municipalité a également demandé à la chambre consulaire un accompagnement sur le développement de ces projets, "car seuls, nous n'y arriverons pas", en raison des difficultés budgétaires que connaît la collectivité. Cet accompagnement va se manifester notamment par l'acquisition d'écobox notamment en centre-ville mais aussi par la mise en place d'une Journée de l'entrepreneuriat en mars 2021. "Cette maison de l'entrepreneuriat n'était pas mon projet mais quand les choses sont bonnes il faut le dire et ce projet était bon pour Saint-Benoit", a tenu à rappeler Patrice Selly.
"Le début d'une belle histoire"
Un partenariat a également été noué entre la mairie et la Chambre sur la définition de la stratégie de redynamisation du centre-ville bénédictin. Un centre-ville qui en a bien besoin puisque près de 50% des commerces ont baissé leurs rideaux. "Le but de cette étude est de comprendre pourquoi aujourd'hui il y a autant de fermetures à Saint-Benoit mais surtout faire revenir la clientèle dans la commune", a poursuivi Ibrahim Patel, qui voit dans ce partenariat entre les deux entités "le début d'une belle histoire".
"Il faudra maintenant formaliser tous ces éléments. Il y a aussi le volet formation, essentiel, sans oublier celui de l'aménagement. La Chambre peut nous accompagner pour l'aménagement du foncier et notamment celui de Beauvallon. Sur l'ensemble de ces volets, le souhait qui est porté à la fois par le président Patel et moi-même c'est que nous puissions formaliser très rapidement ces différents domaines d'intervention à travers une convention", poursuit le maire de Saint-Benoit et président de la Cirest.
Une convention mais également la mise à disposition par la commune d'un local à la CCIR, le foncier ne manquant pas à Saint-Benoit, pour matérialiser le retour de la chambre consulaire dans la cité des eaux vives.
Le pôle numérique pourrait se faire à Saint-Benoît
"C'est vrai que la Chambre a pris un engagement de signer une convention sur trois volets: le volet économique, le volet de la formation et le volet de l'aménagement". Sur le premier volet, la CCIR réfléchit à réinvestir à Saint-Benoit. "Dans quels domaines ? Cela va être une discussions entre nos deux services. Nous avons par exemple l'Ecole supérieure du numérique, nous avons le volet numérique qui est dans le pôle numérique qui pourrait se faire à Saint-Benoît. Dans le domaine de la formation, nous lançons l'École supérieure de management qui va démarrer l'année prochaine avec une extension possible dans la commune", a énuméré Ibrahim Patel.
Sur le volet de l'aménagement, la CCIR a validé récemment une enveloppe de 15 millions destinée à l'acquisition de biens immobiliers. "Nous sommes intéressés par le volet écoboxes et la Chambre pourrait acquérir ces écoboxes si le foncier est disponible en partenariat avec la mairie", envisage-t-il.
La municipalité a également demandé à la chambre consulaire un accompagnement sur le développement de ces projets, "car seuls, nous n'y arriverons pas", en raison des difficultés budgétaires que connaît la collectivité. Cet accompagnement va se manifester notamment par l'acquisition d'écobox notamment en centre-ville mais aussi par la mise en place d'une Journée de l'entrepreneuriat en mars 2021. "Cette maison de l'entrepreneuriat n'était pas mon projet mais quand les choses sont bonnes il faut le dire et ce projet était bon pour Saint-Benoit", a tenu à rappeler Patrice Selly.
"Le début d'une belle histoire"
Un partenariat a également été noué entre la mairie et la Chambre sur la définition de la stratégie de redynamisation du centre-ville bénédictin. Un centre-ville qui en a bien besoin puisque près de 50% des commerces ont baissé leurs rideaux. "Le but de cette étude est de comprendre pourquoi aujourd'hui il y a autant de fermetures à Saint-Benoit mais surtout faire revenir la clientèle dans la commune", a poursuivi Ibrahim Patel, qui voit dans ce partenariat entre les deux entités "le début d'une belle histoire".
"Il faudra maintenant formaliser tous ces éléments. Il y a aussi le volet formation, essentiel, sans oublier celui de l'aménagement. La Chambre peut nous accompagner pour l'aménagement du foncier et notamment celui de Beauvallon. Sur l'ensemble de ces volets, le souhait qui est porté à la fois par le président Patel et moi-même c'est que nous puissions formaliser très rapidement ces différents domaines d'intervention à travers une convention", poursuit le maire de Saint-Benoit et président de la Cirest.
Une convention mais également la mise à disposition par la commune d'un local à la CCIR, le foncier ne manquant pas à Saint-Benoit, pour matérialiser le retour de la chambre consulaire dans la cité des eaux vives.
Le pôle numérique pourrait se faire à Saint-Benoît
"C'est vrai que la Chambre a pris un engagement de signer une convention sur trois volets: le volet économique, le volet de la formation et le volet de l'aménagement". Sur le premier volet, la CCIR réfléchit à réinvestir à Saint-Benoit. "Dans quels domaines ? Cela va être une discussions entre nos deux services. Nous avons par exemple l'Ecole supérieure du numérique, nous avons le volet numérique qui est dans le pôle numérique qui pourrait se faire à Saint-Benoît. Dans le domaine de la formation, nous lançons l'École supérieure de management qui va démarrer l'année prochaine avec une extension possible dans la commune", a énuméré Ibrahim Patel.
Sur le volet de l'aménagement, la CCIR a validé récemment une enveloppe de 15 millions destinée à l'acquisition de biens immobiliers. "Nous sommes intéressés par le volet écoboxes et la Chambre pourrait acquérir ces écoboxes si le foncier est disponible en partenariat avec la mairie", envisage-t-il.